La " théorie du genre "
Nous vivons dans
un triste monde. Il faut avoir l’honnêteté de l’avouer. Quand je vois et
j’entends nos politiciens ainsi que nos « vedettes » de la radio et de la télévision, parler de Dieu, de
l’homme et de la femme (ou plutôt nier Dieu, l'homme et la femme), je me désole de plus en plus. Hier, aux nouvelles
télévisées, un ancien premier ministre du Québec, disait avec
fierté que le Québec est une nation bien en avance sur d’autres nations car
elle accepte et approuve depuis des années le « transgenre ». Je ne veux pas ici me prononcer sur le transgenre
comme tel, mais je trouve très bizarre qu’un ancien premier ministre, pour
montrer le caractère évolué d'une société, prenne
comme exemple le « transgenre ».
Mais il y a plus grave encore. À Montréal, à la radio de Radio-Canada, dans une émission de grande écoute, on a fait dernièrement
très clairement l’éloge de la « théorie
du genre » (la théorie du « gender ») (1).
Cette théorie était largement admise par les personnes qui
discutaient cette journée-là, à la radio d'État. .
La " théorie du genre " (il serait plus exact de parler des " études de genre ") comportent différents degrés. Les tenants les plus radicaux de cette théorie, affirment qu'il n'y a pas une nature de l'homme et une nature de la femme. Autrement dit, on ne devrait faire aucune distinction entre l'homme et la femme. L'homme et la femme sont constitués différemment biologiquement, mais voilà leur seule différence. Il n'existe pas de psychologie proprement masculine ou féminine. Il n'y a rien dans leurs comportements qui relève de l'inné ou de la nature. Tout ce que l'homme ou la femme est, est dû à des conditionnements sociaux, à la culture. La phrase du livre biblique de la Genèse, qui dit "Homme et femme il les créa" ( Gn 1, 27) n'a plus de sens. C'est ce qu'a affirmé péremptoirement Simone de Beauvoir: « On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat qu'on qualifie de féminin. Seule la médiation d'autrui peut constituer un individu comme un Autre. » (Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe). Le genre humain est vraiment unique; il n'existe que l'être humain. Je vous laisse imaginer les conséquences de cette théorie sur la vie des personnes et sur leurs comportements moraux.
La " théorie du genre " (il serait plus exact de parler des " études de genre ") comportent différents degrés. Les tenants les plus radicaux de cette théorie, affirment qu'il n'y a pas une nature de l'homme et une nature de la femme. Autrement dit, on ne devrait faire aucune distinction entre l'homme et la femme. L'homme et la femme sont constitués différemment biologiquement, mais voilà leur seule différence. Il n'existe pas de psychologie proprement masculine ou féminine. Il n'y a rien dans leurs comportements qui relève de l'inné ou de la nature. Tout ce que l'homme ou la femme est, est dû à des conditionnements sociaux, à la culture. La phrase du livre biblique de la Genèse, qui dit "Homme et femme il les créa" ( Gn 1, 27) n'a plus de sens. C'est ce qu'a affirmé péremptoirement Simone de Beauvoir: « On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat qu'on qualifie de féminin. Seule la médiation d'autrui peut constituer un individu comme un Autre. » (Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe). Le genre humain est vraiment unique; il n'existe que l'être humain. Je vous laisse imaginer les conséquences de cette théorie sur la vie des personnes et sur leurs comportements moraux.
Avouez avec moi, que la pensée de certains êtres humains est rendue très loin. Et quelle est la source d’une telle méprise? Pour moi, la cause de
toute cette errance philosophique, psychologique et sociale, réside dans
l’athéisme grandissant des sociétés modernes. Voilà la véritable cause :
l’homme et la femme modernes ne croient plus en Dieu, en un Dieu qui a un plan
sur le monde, qui a créé une nature; une nature qui a ses lois propres. Si on
croit que l’univers s’est fait par hasard, on peut évidemment croire que le
hasard est la source de l’être humain. L’être humain peut donc être ceci ou
cela. Le remède à tout cela, est très clair à mes yeux : le remède,
l’unique remède à toute cette errance, est la croyance en Dieu. Or, on ne peut
pas donner la foi à quelqu’un. On ne peut que le mettre sur des voies qui,
peut-être, avec le secours de Dieu, le conduiront à la foi.
C’est pourquoi il est plus important que jamais de montrer que certains personnages ont changé l'histoire de l'humanité, grâce à leur foi en Dieu. C'est le cas de Gandhi. Si Gandhi a fait des choses aussi extraordinaires; s’il a changé l’Inde à jamais, c’est en raison de sa foi en Dieu. Gandhi n’était pas chrétien, mais il était un grand croyant. Albert Einstein, en parlant de Gandhi, a dit cette phrase admirable: « Il se peut très bien que les générations à venir aient peine à croire qu’un homme comme lui, en chair et en os, ait jamais marché sur cette Terre » (« Generations to come, it may well be, will scarce believe that such a man as this one ever in flesh and blood walked upon this Earth »).
C’est pourquoi il est plus important que jamais de montrer que certains personnages ont changé l'histoire de l'humanité, grâce à leur foi en Dieu. C'est le cas de Gandhi. Si Gandhi a fait des choses aussi extraordinaires; s’il a changé l’Inde à jamais, c’est en raison de sa foi en Dieu. Gandhi n’était pas chrétien, mais il était un grand croyant. Albert Einstein, en parlant de Gandhi, a dit cette phrase admirable: « Il se peut très bien que les générations à venir aient peine à croire qu’un homme comme lui, en chair et en os, ait jamais marché sur cette Terre » (« Generations to come, it may well be, will scarce believe that such a man as this one ever in flesh and blood walked upon this Earth »).
Voici
ce que Gandhi a dit de la prière :
« Le prière m’a sauvé la vie. Si la prière ne m’avait pas secouru,
depuis longtemps j’aurais perdu la raison. Je traversais alors les épreuves les
plus dures de ma vie, publique et privée. Elles me plongèrent un certain temps
dans un véritable désespoir, frôlant quelques fois la possibilité de suicide.
Si j’ai pu m’en remettre, c’est bien grâce à la prière.
C’est par pure nécessité que j’en suis venu à prier car il m’était devenu
impossible d’être heureux autrement. Puis à mesure que le temps passait, ma foi
en Dieu augmenta, et mon besoin de prière devint de plus en plus irrésistible …
Au début de ma vie, je ne croyais ni en Dieu ni en la prière. Et jusqu’à
une époque assez avancée, j’éprouvais très souvent des vides prolongés en moi.
Vint enfin le temps où la prière me parut aussi indispensable à l’âme, que la
nourriture au corps …
Bien que plus d’une fois, j’aie dû affronter des situations qui, sur la
plan politique, me paraissaient désespérées, je n’ai jamais perdu le sentiment
de paix qui m’habitait. Plusieurs m’ont envié cette sérénité. C’est la prière
qui l’explique. Je ne suis pas un savant, mais je prétends humblement être un
homme de prière. Peu importe la manière dont on prie …
Tout
ce qui m'a été donné de pouvoir faire dans ma vie est dû au fait qu'à travers
mes limites j'ai découvert l'action de cette force autre que la mienne, cette
force que l'on peut prier, cette force qui peut nous guider. Je suis intimement
persuadé que Dieu se révèle quotidiennement à chacun de nous; mais nous nous
bouchons les oreilles pour ne pas entendre la Petite Voix Tranquille. Nous
fermons les yeux pour ne pas voir en face de nous La Colonne de Feu.
La
prière est maintenant pour moi aussi indispensable à mon âme que la nourriture
l'est à mon corps. Il m'est devenu impossible d'être heureux sans prier. La
prière me soutient, me guide, me donne la paix, la sérénité.
Tel est mon témoignage personnel. À chacun de vérifier que la prière
quotidienne ajoute quelque chose de neuf à sa vie. (2)
(1) Pour connaître l'origine de la " théorie du genre ", veuillez cliquer sur le lien suivant:
L'expérience tragique du gourou de "la théorie du genre" - Le Point
(1) Pour connaître l'origine de la " théorie du genre ", veuillez cliquer sur le lien suivant:
L'expérience tragique du gourou de "la théorie du genre" - Le Point
(2) Il n'est pas facile de trouver des sources fiables en français qui relatent les phrases de Gandhi que je viens de citer. Mais il semble bien que ces phrases soient réellement de lui, comme en témoigne le lien suivant:
Gandhi's Views On God - Prayer : The Food Of My Soul - Mani Bhavan
www.gandhi-manibhavan.org/gandhiphilosophy/philosophy_god_...
C'est de toute beauté.... Je ne peux faire autrement que de partager...
RépondreSupprimerRéflexion très intéressante... Le docteur en psychologie Yann Carrière dit aussi que les seuls humains qui ne pourront guère se laisser manipuler par les tenants totalitaristes du transgenre ( humanité dépersonnalisée, très vulnérable et rendue "uniforme") seront ceux et celles qui auront gardé un contact étroit avec DIEU, en tant qu'instance régulatrice, transcendante, et lieu extérieur de leur investissement narcissique : L'homme et la femme, pour tout croyant monothéiste, et en particulier de foi chrétienne, sont à l'image de leur Créateur... mais ne sont pas le CRÉATEUR lui-même, ce que tend à induire très fortement, la "théorie du genre ", dans ses aspects les plus radicaux et son objectif ultime... Se FAIRE DIEU à la place de DIEU ( position luciférienne, par excellence) ! Dans une volonté de toute-puissance narcissique, déconnectée du RÉEL... .
RépondreSupprimerhttp://www.homme-culture-identite.com/article-la-theorie-du-genre-symptome-d-une-societe-narcissique-manipulee-et-fascisante-par-yann-carr-116789595.html
http://www.dailymotion.com/video/x1bvc14_la-theorie-du-genre-entretien-avec-yann-carriere-docteur-en-psychologie_news