SAINT
FRÈRE ANDRÉ
Aujourd’hui, l’Église universelle célèbre le SAINT FRÈRE ANDRÉ, le premier saint
masculin Canadien à avoir été canonisé. C’est le pape Jean-Paul II qui a
canonisé ce géant québécois. Géant spirituellement, bien sûr, car il était de très
petite taille. Le Frère André, de la Congrégation de Sainte-Croix, a passé presque quarante ans de sa vie comme
portier du Collège Notre-Dame situé sur l’actuelle rue Queen Mary à Montréal. Le Frère André était un
grand dévot de Saint Joseph. Il se qualifiait lui-même de « petit
chien de saint-Joseph ». Le grand rêve de ce saint Frère était de
construire une église dédiée à Saint Joseph; une église qui soit digne du père de Jésus (celui qui a
servi de père à Jésus) et de l’époux de la Vierge Marie. On lui doit l’Oratoire Saint-Joseph, le plus grand
lieu de culte au monde dédié à Saint
Joseph.
J’étais présent à Rome lorsque Jean-Paul II a béatifié le Frère André Bessette, le 23 mai 1982. J'ai participé à cette magnifique célébration. J'étais loin de me douter ce jour-là que celui qui était béatifié en ma présence, allait me guérir miraculeusement seize ans plus tard. Voici quelques unes des paroles que le pape a prononcées le jour de la béatification:
« Dieu s'est plu à doter d'un attrait et d'un pouvoir merveilleux cet homme simple, qui, lui-même, avait connu la misère d'être orphelin au milieu de dix frères et soeurs, était resté sans argent, sans instruction, avec une santé médiocre, en somme privé de tout sauf d’une grande confiance en Dieu. Il n'est pas étonnant qu'il se soit senti tout proche de saint Joseph, le travailleur pauvre et exilé, si familier du Sauveur... Le Frère André a dû supporter l’incompréhension et les moqueries à cause du succès de son apostolat, mais il est resté simple et jovial. En recourant à saint Joseph, et aussi devant le Saint-Sacrement, il pratiquait lui-même, longuement et avec ferveur, au nom des malades, la prière qu'il leur enseignait. Sa confiance en la vertu de la prière n’est-t-elle pas une des indications les plus précieuses pour les hommes et les femmes de notre temps qui sont tentés de résoudre leurs problèmes sans recourir à Dieu. » (23 mai 1982, Proclamation de cinq nouveaux Bienheureux)
« Dieu s'est plu à doter d'un attrait et d'un pouvoir merveilleux cet homme simple, qui, lui-même, avait connu la misère d'être orphelin au milieu de dix frères et soeurs, était resté sans argent, sans instruction, avec une santé médiocre, en somme privé de tout sauf d’une grande confiance en Dieu. Il n'est pas étonnant qu'il se soit senti tout proche de saint Joseph, le travailleur pauvre et exilé, si familier du Sauveur... Le Frère André a dû supporter l’incompréhension et les moqueries à cause du succès de son apostolat, mais il est resté simple et jovial. En recourant à saint Joseph, et aussi devant le Saint-Sacrement, il pratiquait lui-même, longuement et avec ferveur, au nom des malades, la prière qu'il leur enseignait. Sa confiance en la vertu de la prière n’est-t-elle pas une des indications les plus précieuses pour les hommes et les femmes de notre temps qui sont tentés de résoudre leurs problèmes sans recourir à Dieu. » (23 mai 1982, Proclamation de cinq nouveaux Bienheureux)
Je suis heureux aujourd'hui de vous partager le récit de cette guérison miraculeuse. Ce témoignage est un des premiers blogues que j'aie écrits; il date du 16 octobre 2011. Le voici, en reprise : Guéri par le Frère André
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