dimanche 31 décembre 2017

Guillaume, jeune prophète

Guillaume, jeune prophète
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Nous sommes parvenus au dernier jour de l’an. L’année 2017 fut une année extraordinaire en raison du centenaire des apparitions de notre Mère du ciel à Fatima. C’est la première fois qu’il m’en coûte de changer d’année. Les apparitions de la Vierge à Fatima sont à mes yeux l’ÉVÉNEMENT DES TEMPS MODERNES. Mais malheureusement le centenaire de ces apparitions exceptionnelles et célestes, ne figurera pas ce soir dans la grande revue de l’année que nous présenteront les différents médias.

Un dernier cadeau que j’ai reçu en cette année de grâce, m’est parvenu par mon confrère Gérald, qui vit avec moi dans la même maison. Gérald nous a fait connaître à nous, les membres de la communauté ici à Montréal, un jeune Français dont le nom est Guillaume William Hue. Guillaume n’a que 22 ans (sur la vidéo que vous pourrez voir dans un instant, il dit avoir 21 ans, mais je soupçonne qu'il ait un peu vieilli depuis ce temps), et pourtant il exerce déjà à merveille son rôle de prophète qui lui vient de son baptême. Tout baptisé est prêtre, prophète et roi. Être prophète, ce n’est pas en premier lieu annoncer ou prédire l’avenir. Est prophète celui ou celle qui se nourrit de la Parole de Dieu, qui pense comme Dieu (ou du moins essaie de penser comme lui) et met sa parole au service du plan divin. C’est ce que fait Guillaume à merveille. Je ne connais pas ce jeune personnellement, mais je le remercie de mettre tous ses talents au service de l’Évangile. C’est édifiant (cela nous construit), encourageant et stimulant. Seule une personne qui a fait une réelle expérience de Dieu, peut parler avec autant de conviction, d’aplomb et de sagesse. Oui, décidément, " l'Esprit souffle où Il veut " (Jn 3, 8).

Bravo Guillaume, longue vie à toi et que la Sagesse Éternelle, Jésus Sauveur du monde, te communique son Esprit en abondance.

Fraternellement,

Guy, omv

Quel est le sens de ma vie ? - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=eyW-HfVjZ_o

23 déc. 2016 - Ajouté par Guillaume - Est-ce que Dieu existe ?
Sur cette chaine, je parle de la question la plus importante : Est-ce que Dieu existe ? Dans cette vidéo, je ...
P.S.  Toutes les vidéos réalisées par Guillaume sont sur sa chaîne YouTube: 

https://www.youtube.com/channel/UCmak4xFMAikQXYADsI9gLSg 


Fête de la Sainte Famille (2017)

Fête de la Sainte Famille (2017)
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S’il existe une fête qui a son importance aujourd’hui, c’est bien la fête de la Sainte Famille. Notre monde est tellement mêlé, tellement dans le champ sur divers sujets et il est facile d’en découvrir la cause. La cause est très simple: on ne veut rien savoir de la Sagesse éternelle pour nous dire qui nous sommes, où nous allons, comment être heureux. On se coupe ainsi de la Vérité et du véritable bonheur. Devant la plupart des maux qui affligent nos sociétés et notre planète, les mots qui devraient nous venir spontanément à l’esprit et dans le cœur, sont: « MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA » (« PAR MA FAUTE, PAR MA FAUTE, PAR MA TRÈS GRANDE FAUTE »). La Bible, bien comprise, nous dit tout ce qu’il faut savoir pour que la famille vive heureuse et dans l’harmonie. Mais pour une très grande majorité de nos contemporains, la Bible n’est pas du tout le Livre de référence sur lequel repose leur vie. Et c’est très malheureux.

Je viens de dire que « la Bible bien comprise nous dit tout ce qu’il faut savoir pour que la famille vive heureuse ». La question est donc la suivante: « Qui m’expliquera la Bible, qui m’aidera à comprendre correctement la Parole de Dieu? ». Voilà la bonne question car une façon fondamentaliste d’interpréter la Bible peut nous éloigner de la Vérité et indisposer nos contemporains.

Or, nous ne manquons pas de prophètes pour interpréter correctement la Bible. Il suffit de les connaître. Un de mes prophètes préférés en ce sens, est madame Georgette Blaquière. Cette grande dame française, est décédée il y a cinq ans. Cette femme est un prophète de notre temps, comme la prophétesse Anne dont parle l’évangile d’aujourd’hui (Lc 2, 36-38). De plus, puisqu’il est question dans le présent blogue de parler de la famille, madame Blaquière a une grande expérience en la matière: mariée, devenue veuve à l’âge de soixante ans, mère de trois enfants, grand-mère et arrière grand-mère.

Aujourd’hui, on ne voit même plus les différences et les différences évidentes. Par exemple, j’ai reçu il y a de cela quelques années, un appel téléphonique d’une dame qui vit en couple avec une autre dame et qui me demandait si je bénissais de telles unions. J’ai répondu que non; que je ne bénissais que les unions entre un homme et une femme. La dame m’a alors répondu: « Mais mon cher monsieur, il n’y a aucune différence entre un couple homosexuel et un couple hétérosexuel; c’est la même chose, la même réalité ». Le problème est que cette dame me paraissait très sincère. Elle croyait ce qu’elle disait. C’est quand même incroyable. Dans la vie d’un couple marié, normalement, les relations sexuelles jouent un rôle essentiel. Or ne pas voir que la physiologie de l’homme et celle de la femme, sont complémentaires sur ce point, c’est tout simplement nier l’évidence. Ne pas voir une différence entre un couple hétérosexuel qui fait l’amour et un un couple homosexuel qui fait l’amour, c’est se boucher les yeux pour ne pas voir. Or le grand problème aujourd’hui concernant le couple et la famille, c’est la cécité intellectuelle et spirituelle. On ne voit plus l’évidence. On nie l’évidence, on nie les différences. On en vient presque à dire qu’être homme ou être femme, c’est la même chose. Et je n’exagère pas; ou si peu. C’est ce que la théorie du genre cherche à nous faire croire.

Dans le domaine de la vie familiale et de la vie de couple, il faut tenir à l’idéal et ne pas nous laisser mener par la sociologie, les statistiques et les sondages d’opinion. Le grand danger qui menace les démocraties, c’est un peuple mal éclairé. Il n’y a parfois rien de plus idiot qu’une foule.

On sait comment vivent plusieurs jeunes aujourd’hui, dans leur relation avec le sexe opposé. Plusieurs adolescents ont une vie sexuelle active. Souvent les jeunes filles, pour ne pas déplaire à leur petit ami, consentent à avoir des relations sexuelles. Madame Blaquière a dit un jour une phrase que j’ai trouvé très éclairante; elle a dit quelque chose comme ceci: « C’est ce que les jeunes vivent, mais ce n’est pas ce qu’ils désirent au fond d’eux-mêmes (surtout, d’après moi Guy Simard, les femmes). Les femmes rêveront toujours du prince charmant, du mari idéal, qui les aimera pour toujours. »

Dans un article que je viens de trouver sur l’internet, madame Georgette Blaquière met très bien en lumière certaines mentalités d’aujourd’hui qui rendent difficile l’épanouissement de la vie conjugale et familiale. Voici certains extraits de ce texte: 

« La mission de la femme dans l'Église A l'occasion du prochain Synode sur «Les Laïcs dans l'Église», on parle beaucoup — et avec raison — de la place de la femme, en particulier de celle qu'elle a ou qu'elle devrait avoir dans la communauté ecclésiale, des droits et des devoirs que lui confère, comme à tout membre de l'Église, le sacerdoce baptismal, des ministères auxquels elle a accès et, bien plus encore, de ceux auxquels elle n'a pas accès. Cependant parler de la «mission» de la femme dans l'Église va plus loin: c'est vouloir se mettre au centre de la réflexion, parler de celui qui envoie, autant que de celui «qui est envoyé», et du «sens» de l'envoi: c'est donc poser un problème théologique plus encore qu'un problème de société. C'est essayer non seulement de trouver une réponse valable, induisant des comportements nouveaux, mais de se replacer au cœur du projet de Dieu, tel qu'il nous est révélé et doit seul inspirer ou justifier nos comportements.

Nous le savons, toute mission s'origine dans le dessein de miséricorde du Père, révélé par l'envoi du Christ Sauveur et Seigneur et mis en œuvre par l'Esprit Saint, animant au fil de l'histoire la mission de l'Église, sacrement de salut pour le monde. Nous sommes donc d'emblée invités à nous replacer dans la contemplation de Yeudokia du Père, telle qu'elle nous est transmise par la révélation.

Mais avant d'aborder la réflexion sur ces points, je voudrais poser deux préalables.

Il me paraît nécessaire, en premier lieu, de préciser ce que j'entends en parlant ainsi de référence explicite à la Parole de Dieu. Nous sommes affrontés à de nouvelles expériences de vie et, simultanément, à de nouveaux conditionnements de pensée. Beaucoup de femmes modernes s'accordent à repousser les schémas traditionnels dans lesquels elles disent se sentir enfermées: soumission de l'épouse à l'époux; privilège de l'intelligence accordé à l'homme alors qu'on concède à la femme une certaine «intuition»; la faiblesse féminine demandant une constante protection; la maternité, seul accomplissement de la femme. Or ces schémas s'appuient en général sur une prétendue tradition judéo-chrétienne issue d'une lecture fondamentaliste de la Parole de Dieu, souvent saisie hors de son contexte, en particulier pour les épîtres pauliniennes. C'est pourquoi des femmes, souvent de bonne foi, accusent l'Église d'être complice d'une vision archaïque de la relation homme-femme dont, pour d'obscures raisons et surtout, disent-elles, à cause de l'étroitesse d'esprit des clercs, elle continuerait à assurer la survivance.

A ces schémas on oppose la négation d'une quelconque complémentarité du masculin et du féminin. A la limite, chercher à nier toute différence entre l'homme et la femme apparaît comme le progrès du monde de demain. Le dernier livre d'Elisabeth Badinter, L'un est l'autre, est typique de cette réflexion. D'autre pan, on revendique à juste titre le partage des responsabilités et des pouvoirs dans le domaine de la vie professionnelle, où l'on mesure que les femmes ont des capacités comparables à celles des hommes. Par ailleurs, a. la faveur d'une confusion qui, en certains cas, peut être dramatique, entre liberté et indépendance, la libération de la femme est censée passer par son indépendance absolue à l'égard de l'homme, les dernières recherches biologiques lui permettant de concevoir et d'enfanter, si elle le désire, sans même avoir besoin de vivre avec un homme. En théorisant le droit au plaisir par tous les chemins qu'elle pourrait vouloir choisir, on estime rendre à la femme la pleine possession de son corps. Enfin, les sciences humaines sont souvent perçues comme aboutissant à une certaine culpabilisation de l'amour maternel, chaque mère se sentant de toute manière coupable: coupable, si elle travaille, du vide affectif que l'enfant risque de percevoir, et coupable, si elle reste présente à la maison, de l'enfermement castrateur de l'amour qu'elle lui porte. Un véritable terrorisme des sciences humaines ou, plus exactement, de la vulgarisation qui en est faite s'exerce par le biais des médias, des innombrables courriers du cœur ou des ouvrages de vulgarisation psychologique, qui font vivre la femme dans une insécurité permanente sur ce que doit être sa conduite, et donc la referment sur ses propres problèmes

Il me semble que, pour nous chrétiens, seule la référence à la Parole de Dieu, telle qu'elle a été transmise et reçue dans l'Église, peut être régulatrice et maîtresse de vie. Pour l'Apôtre Paul, l'obéissance à la Parole de Dieu est le propre de la foi. J'y ferai référence, parce qu'elle me paraît être l'instance critique fondamentale qui nous permet d'aborder ces problèmes paisiblement, en profondeur, et de passer au crible tout l'apport si légitime et nécessaire des sciences humaines pour en retenir le meilleur, A la lumière de la Parole de Dieu, le croyant me paraît en ce moment plus que jamais «l'expert en humanité», qui permet à chaque être, homme ou femme, de s'accomplir. Ce que la Bible nous dit est d'une prodigieuse actualité et d'une nouveauté déconcertante. Encore faut-il que nous soyons prêts à accueillir cette nouveauté et donc à convertir notre conduite et notre pensée. La référence à la Parole de Dieu sera donc pour moi fondamentale pour éclairer toute réflexion.

En second lieu, je ferai remarquer que la mission de la femme dans l'Eglise est inséparable de la mission de l'homme. Par nécessité méthodologique nous sommes conduits à mener des réflexions parallèles: rôle des laïcs, du prêtre, des femmes, place des consacrés, des baptisés, etc. Cela peut conduire à créer des oppositions factices, comme si les uns ne pouvaient exister qu'aux dépens des autres. Prononcer le mot «complémentarité» provoque ici ou là une levée de boucliers. Pourtant le Christ a osé dire: «Ce que Dieu a uni, l'homme ne doit point le séparer» (Mt 19,6). L'Apôtre Paul nous avertit: « Dans le Seigneur la femme ne va pas sans l'homme ni l'homme sans la femme... Tout vient de Dieu» (1 Co 11,11). Nous voici confrontés au principe évangélique si radical de la «soumission mutuelle» (Ep 5,21), c'est-à-dire de la dépendance mutuelle dans l'amour, condition de la vie du corps vivant qu'est l'Eglise. Et cela va à l'encontre des réflexes sociologiques actuels, pour lesquels la liberté comporte que l'on n'ait besoin de personne et qu'on sache en tout point se suffire à soi-même. Il nous faudra, en permanence, garder en mémoire le chapitre 12 de la première épître aux Corinthiens... Cet essai de réflexion sur la mission de la femme sera donc forcément incomplet par le fait même des limites qu'il s'impose. » (1)



(1) La mission de la femme dans l'Église - Nouvelle Revue Théologique

www.nrt.be/fr/La-mission-de-la-femme-dans-l%27Église-article-28 


 Cliquer sur: Lire gratuitement en PDF : La mission de la femme dans l'ÉgliseLire gratuitement en PDF




mardi 26 décembre 2017

Nouveau " Miracle du Soleil "

Nouveau « Miracle du Soleil »
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Chers amis, nous sommes sur le point de terminer l’année 2017, une année extraordinaire. Pour quelle raison fut-elle aussi extraordinaire? En raison du fait que nous avons célébré le centenaire des apparitions de la Vierge Marie à Fatima, au Portugal, du 13 mai au 13 octobre 1917.

Pour moi les apparitions de Marie à Fatima, sont les plus grands événements des temps modernes. Rien ne va à la cheville de ces événements parmi les événements purement humains, du genre de ceux dont on nous fera la revue dans cinq jours pour ce qui est de l’année 2017.

Or d’après une source crédible à mes yeux, il semble bien que la Vierge Marie a gratifié notre terre d’une autre faveur exceptionnelle cette année. Le 13 octobre dernier, cent ans jour pour jour après que la Vierge ait accompli le miracle qu’elle avait promis à Lucie de réaliser lors de sa dernière apparition à Fatima, un miracle semblable a eu lieu au Nigéria, alors que les évêques consacraient le pays à la Vierge Immaculée.

Un de mes amis m’a envoyé dernièrement la vidéo ci-dessous, en me demandant si j’étais au courant de ce fait. Je lui ai répondu que je n’étais pas au courant. J’ai fait des recherches pour m’assurer de son authenticité, mais sans réel succès. J’ai alors écrit à un de mes confrères Oblats de la Vierge Marie qui vit et œuvre au Nigéria, pour savoir ce qu’on doit penser de la vidéo.


Voir aussi: 

Dieu ma joie: Fatima: signe grandiose pour notre temps

dieumajoie.blogspot.com/2017/04/fatima-signe-grandiose-pour-notre-temps.html


Dieu ma joie: Le 13 mai: Notre-Dame de Fatima

dieumajoie.blogspot.com/2013/05/le-13-mai-notre-dame-de-fatima.html





Mon plus beau cadeau de Noël

Mon plus beau cadeau de Noël 
Mon ami Nicholas

Chers amis, je tiens aujourd’hui à vous partager une autre grande joie que j’ai reçue par l’entremise de mon ami Nicholas. Nicholas est le jeune trisomique de 17 ans qui vient à chaque dimanche à la messe paroissiale de 9h30. À chaque jour je regarde les statistiques de mon blogue. Lors de la dernière semaine, c’est le blogue intitulé « Mon ami Nicholas » qui a été le plus lu:

19 déc. 2017 17:00 – 26 déc. 2017 16:00

Articles

EntréePages vues

5 déc. 2017
351
5 nov. 2017, 2 commentaires
331
295
18 nov. 2017, 2 commentaires
291
284

Dimanche dernier, me rendant à l'arrière de l'église juste avant la messe et passant à côté de Nicholas, celui-ci m'a salué avec son large sourire et m'a tendu un petit cadeau, très bien emballé. Je lui ai dit de me le remettre après la messe. Après la messe, Nicholas est venu me remettre son cadeau, que j'ai immédiatement ouvert devant lui. Il s'agit d'une magnifique cuillère faite en argent sur laquelle il y a trois croix représentant le Calvaire. La croix du milieu est percée bord en bord de la cuillère, laissant ainsi passer la lumière du jour. Sous la croix, un seul mot est écrit:  A   M   O   U  RCe cadeau m'est très cher car il s'agit d'une oeuvre artisanale faite par Nicholas lui-même, sous la guidance de sa chère maman Dorothy.

 

En recevant le cadeau, j'ai demandé à Nicholas: "Qui a fabriqué ce cadeau? " Il m'a répondu: "Moi et ma maman." Dans un échange courriel que j'ai eu avec la mère de Nicholas, cette dernière m'a dit que Nicholas avait travaillé très fort pour fabriquer ce cadeau et qu'elle avait été là pour le guider. Elle a même joint plusieurs photos de Nicholas dans son atelier, en train de fabriquer mon cadeau. Voici deux de ces photos. 

      

Le mot  A M O U R   qui est écrit sous la croix, revêt une importance particulière à mes yeux et est intimement lié à la spiritualité de Nicholas. J'ai appris par la maman de Nick, que ce cher ami n'est pas baptisé. J'ai donc demandé à madame Christiane Gagnon, mon bras droit en paroisse, d'entreprendre la formation catéchétique de Nicholas. J'aurai la joie de baptiser Nicholas à Pâques. Lors de la deuxième rencontre que Christiane a vécue avec Nicholas, elle lui a demandé: "Qui est Jésus pour toi? " Nicholas a alors répondu par un seul mot: " AMOUR "

Nicholas n'est pas baptisé mais il venait à chaque dimanche recevoir la communion, l'eucharistie. Lors de la troisième rencontre que Christiane a eue avec Nicholas, elle lui a demandé: "Qu'est-ce que tu vas chercher durant la messe lorsque tu t'avances avec les autres, en ligne, pour aller vers le prêtre?" Nicholas a répondu: " Du pain." Cette réponse est tout à fait normale dans les circonstances, n'est-ce pas? Une fois que Christiane et moi sommes devenus de véritables amis de Nicholas, nous sommes allés le rencontrer chez lui pour lui demander de s'abstenir pour le moment de "faire la communion " car ce qu'il va chercher à ce moment-là, ce n'est pas vraiment du pain, mais JÉSUS. J'ai alors expliqué le mystère le plus grand de notre foi de la façon suivante à ce cher Nicholas: " Jésus nous aime tellement, qu'il a trouvé un moyen de venir en nous." Je n'oublierai jamais l'expression sur le visage de Nicholas quand je lui ai dit ces mots: son visage a exprimé de l'étonnement, mais pas de doute. J'ai été ébloui par sa réaction. Il a certes été étonné par ma réponse, mais il a semblé y croire d'emblée. J'ai alors compris la vérité de cette parole d'une religieuse qui a fondé une communauté religieuse en France pour les personnes trisomiques: "Les personnes trisomiques ont plusieurs handicaps, mais sur le plan spirituel, elles n'ont aucun handicap (1). En sortant de la maison de Nicholas, Christiane m'a dit ceci: "Nicholas a une capacité d'écoute (et d'attention) exceptionnelle". Et c'est tout à fait vrai. Surtout, selon moi, lorsqu'on parle des vérités de la foi catholique. 

Ce cadeau est vraiment un cadeau de Noël. Il s'agit d'une cuillère décorative que l'on met normalement dans le sapin de Noël. Mais il n'est pas question pour moi de me priver de ce cadeau onze mois par année. Je me sers donc de la cuillère comme d'un porte-clefs. Ce porte-clefs auquel sont accrochées les clefs de ma maison, sera sur moi tous les jours de l'année. MERCI CHER NICHOLAS  !!!



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Noël 2017

Noël 2017
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Rarement j’ai été aussi heureux de célébrer Noël. Étrangement, ce bonheur vient du fait que nombreux de mes compatriotes considèrent le mystère de Noël comme un conte de fée semblable à l’histoire du Père Noël. C’est, étrangement la raison pour laquelle je suis si heureux aujourd’hui d’affirmer ma foi chrétienne. L’adversité, l’opposition, les contradictions, non seulement nous rendent plus forts, mais aussi plus JOYEUX. Voilà la découverte étonnante que je fais en ce Noël 2017.

Le Noël 2017 est un Noël exceptionnel à mes yeux car il est le Noël du centenaire des apparitions de notre Mère du ciel à Fatima en 1917. Toutes les prophéties que Marie Mère de Dieu a partagées aux trois jeunes voyants, se sont réalisées: la mort très précoce de deux des jeunes voyants; la vie plus longue de Lucie, la plus âgée des trois enfants, qui mourra à 97 ans; une guerre plus grave encore (nous sommes alors en pleine première guerre mondiale) se produira si les gens ne se tournent pas vers Dieu; la Russie (qui vit cette année-là la révolution bolchévique) répandra ses erreurs; le miracle dit « du soleil », que la Sainte Vierge avait promis d’accomplir lors de la dernière apparition, celle du 13 octobre 1917. Et quel miracle éclatant ce fut, que « tous ont pu voir pour croire ». Or tous ont vu, mais tous n’ont pas cru. Voilà le mystère de la liberté humaine et de la volonté de l’homme et de la femme, fragilisée et même faussée par le péché de nos premiers parents, le péché des origines, le péché originel.

Je suis sûr que notre Mère du ciel déploie tous ses efforts en ce Noël 2017, pour que le cœur de ses enfants s’ouvre à la grâce divine et connaisse le vrai bonheur, prélude d’une éternité bienheureuse auprès de Dieu et avec Dieu.

J’aime beaucoup ce que l’Église a décidé de nous faire vivre en la Solennité de Noël. La veille de Noël, notre Mère l’Église, nous présente la naissance de Jésus pauvre parmi les pauvres, naissant dans une étable et couché dans une mangeoire d’animaux. Quel Dieu extraordinaire nous avons : toujours du côté des laisser pour compte, des exclus, des mal-aimés. La nuit est propice à la tendresse et à l’intimité. Que de tendresse il y avait dans cette étable où Marie, Joseph et les bergers ont pu voir et adorer le Dieu vivant fait chair devant eux.

Ce matin, l’Église nous présente comme évangile, le Prologue de saint Jean, le chapitre 1 de son évangile. Ici, nous sommes en pleine lumière où tout est grandiose. On remonte à l’origine du monde et même à ce Dieu qui existait avant que le temps n’existe:

ÉVANGILE DE JÉSUS-CHRIST SELON SAINT JEAN

01 AU COMMENCEMENT était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.
02 Il était au commencement auprès de Dieu.
03 C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui.
04 En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ;
05 la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.

Il y a tellement de LUMIÈRE dans le Prologue de saint Jean, qu’on se croirait au matin de la Résurrection.

Voilà, en l’espace de douze heures, le mystère chrétien que nous propose notre Mère l’Église dans sa liturgie. La nuit, on nous présente surtout l’humanité du Sauveur et le matin la divinité de notre Rédempteur.

Je disais au début de ce blogue, que jamais je n’ai été aussi heureux de célébrer Noël que cette année. Et je donnais comme raison le fait que notre peuple s’est volontairement éloigné de la foi de ses ancêtres. Ce n’est évidemment pas cet éloignement de Dieu et de la vérité qui me réjouit, mais le fait que Dieu continue à me donner la foi chrétienne, qui est certes le plus beau des cadeaux.

Il y a une tendance en notre pays, et particulièrement en la ville où j’habite, de considérer le mystère chrétien comme étant une sorte de béquille ou de pilule offerte aux gens sans instruction, qui leur permette de traverser les épreuves de la vie et d’expliquer l’univers qui les entoure. Mais les gens instruits, aux dires de plusieurs de mes concitoyens, n’ont que faire du mystère chrétien, relégué aux vestiges du passé et à la tradition folklorique de notre peuple. Même notre nouvelle gouverneure générale et ancienne cosmonaute, madame Julie Payette, s’est permise de dire à une assemblée de scientifiques « qu’on ne peut que se surprendre du fait que dans une société instruite, on se pose encore la question de savoir si le monde vient d’une intervention divine, ou s’il est dû à un processus naturel, voire aléatoire » (1). Certaines personnes excusent les propos de madame Payette par le fait qu’elle s’adressait alors non pas au grand public, mais à une assemblée de scientifiques. Mais cette chère dame apprendra vite la vérité de cette parole de Jésus: « Ce que vous aurez dit à l’oreille dans le fond de la maison, sera révélé sur les toits »  (Lc 12, 3) Cette parole de Jésus concerne bien sûr le « jugement dernier », mais nous en avons un avant-goût dès ici-bas à cause de la technologie.

Madame Payette, en tenant de tels propos, offensait tous les croyants en Dieu et même certains de ses confrères cosmonautes:  

Un cosmonaute russe emportera des icônes et une Bible dans l’espace
 Interfax | 06 septembre 2016

Le nom de l'équipage ? "Thabor".
Le 2 septembre, à la cité des étoiles (de son nom russe Zvezdny Gorodok, ancien complexe militaire au nord-est de Moscou), Sergey Ryzhikov, membre du nouvel équipage de l’ISS (Station spatiale internationale), affirme qu’il emportera dans l’espace des icônes, une Sainte Bible, des lettres de ses proches et des pierres du mont Thabor (Israël).
Lors d’une conférence de presse au centre d’entraînement des cosmonautes, qui doit son nom au premier cosmonaute russe Yuri Gagarin, il a également confié que le nom de l’équipage était « Thabor », en l’honneur du mont Thabor, où le Christ fut transfiguré devant ses apôtres, ... 

Le lancement du vaisseau spatial Soyuz MS 02, qui conduira le nouvel équipage à l’ISS, est prévu pour le 23 septembre. L’équipage comprend des cosmonautes russes et des astronautes de la NASA, et la durée prévue du vol spatial est de 155 jours. (2)

Elle est malheureuse et insidieuse cette fabulation de l'esprit qui pousse quelqu'un à croire que la seule façon valable de connaître notre monde, c'est au moyen de la science expérimentale. À mon homélie de Noël, j'ai demandé aux gens qui sont mariés, d'envoyer leurs épouses faire un test ou un examen scientifique de leur psychologie et de me dire si, en lisant les résultats ils reconnaissent leurs épouses. Ce que la science dit, ce n'est pas toujours la vérité. Plusieurs vérités se découvrent par le coeur et sont non moins des vérités. Le jour où un être humain fait la rencontre du Dieu vivant, il le sait. Et à partir de ce jour, sa foi et sa vie viennent de faire un bon de géant. Et quiconque osera lui dire que cette expérience n'est pas scientifique et donc invalide, ne fera que prouver sa propre ignorance et sa façon de déformer la réalité. De plus, la science est remplie de théories, théories qui souvent viennent à être contredites. Alors, qu'on ne parle pas à tout vent de la "vérité" de la science. La vérité est multiple; elle peut venir de la science, elle peut venir de la bouche d'un enfant, elle peut venir de l'expérience intime et personnelle d'une personne. Et en bout de ligne, la VÉRITÉ EST UNE PERSONNE: JÉSUS DE NAZARETH, VRAI DIEU ET VRAI HOMME. 
Pauvres personnes qui ne basent leur vie que sur la science !!! Elles risquent de construire leur vie sur du sable. 
" Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas " (Mt 24, 35)

dieumajoie.blogspot.com/2017/11/la-folie-selon-dieu-nous-vivons-dans.html

https://fr.aleteia.org/.../un-cosmonaute-russe-emportera-des-icones-et-une-bible-dans-l..