mercredi 14 février 2018

Savais-tu que tu es riche ?


Savais-tu que tu es riche ????

Le compte de Banque Magique:
Imaginez que vous avez gagné le prix suivant dans un concours, un tirage ou une loterie. Chaque matin, une banque dépose dans votre compte de banque la jolie somme de 86,400 dollars à dépenser. Cependant, vous devez respecter les règles suivantes:
1.      Tout ce que vous n’aurez pas utilisé à la fin de chaque jour est perdu.
2.      Vous ne pouvez pas transférer votre argent dans un autre compte.
3.      Vous ne pouvez que le dépenser.
4.      Chaque jour, votre compte est remis à 86,400 $.
5.      La banque peut fermer votre compte sans préavis en tout temps en vous disant
      « C’est  terminé » sans aucun recours.
Alors, qu’est-ce que vous faites?
Acheter tout ce dont vous avez besoin immédiatement? Pas seulement pour vous, mais pour tous ceux que vous aimez et qui comptent pour vous. Même pour ceux que vous ne connaissez pas, parce que vous n’arrivez pas à tout dépenser, pas vrai!
Oui, dépenser le moindre sou pour éviter de le perdre à la fin de la journée !
Or voici la bonne nouvelle: cette banque existe vraiment et nous la connaissons tous. Cette banque nous fait ce cadeau à chaque jour. 
Cette banque, c'est le TEMPS.  
1.      Chaque matin, on se lève et Dieu nous donne en cadeau 86,400 secondes.
2.      Chaque soir, lorsqu’on se couche, le temps restant est perdu.
3.      Ce que nous n’avons pas utilisé est perdu à jamais.
4.      Hier disparaît.
5.      Chaque matin, on repart à neuf, mais le banquier peut nous retirer tout n’importe
      quand et sans avertissement...
Alors, que ferez-vous avec ces 86,400 secondes?
Toutes ces secondes valent bien plus que le montant équivalent en argent. Pensez-y et rappelez-vous de profiter de chaque seconde de votre vie, car le temps passe bien plus vite qu’on ne le pense.
Alors, prenez soin de vous, soyez heureux, appréciez profondément la vie!
On vous souhaite une bonne et belle journée.
Commencez à « dépenser » judicieusement chaque seconde.
Arrêtez de vous plaindre que vous vieillissez!
N’oubliez pas que d’autres n’ont plus cette chance!

(Il semble que ce texte soit d'un auteur inconnu et qu'il ait été trouvé dans les notes de l’entraîneur de football Paul Bear Bryant de l’université de l’Alabama, après sa mort en 1983)



 



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