« Le temps est supérieur à
l’espace » Pape François
La pensée du pape n’est pas le fruit du hasard. Le pape
connaît très bien la pensée de l’Église. Et cette pensée repose sur des
principes précis qui, à première vue, ne sont pas faciles à comprendre, mais
que nous devons tous essayer d’approfondir et de mettre en pratique. « Fais cela et tu vivras »
disait Jésus (Lc 10, 28).
Voici un des principes qui sous-tend la pensée du pape François: « le temps est supérieur à l’espace ». Il développe un peu cette idée dans l’exhortation apostolique « La joie de l’Évangile », aux numéros 222 à 225. Si j'en parle aujourd'hui, c'est que le pape fait référence à ce principe à nouveau dans l'exhortation apostolique Amoris laetitia qui vient tout juste de paraître. Voici ce que le pape dit aux numéros 3, 260 et 261 de l'exhortation:
3. En rappelant que « le temps est supérieur à
l’espace », je voudrais réaffirmer que tous les débats doctrinaux, moraux
ou pastoraux ne doivent pas être tranchés par des interventions magistérielles.
Bien entendu, dans l’Église une unité de doctrine et de praxis est nécessaire,
mais cela n’empêche pas que subsistent différentes interprétations de certains
aspects de la doctrine ou certaines conclusions qui en dérivent. Il en sera
ainsi jusqu’à ce que l’Esprit nous conduise à vérité entière (cf. Jn 16, 13),
c’est-à-dire, lorsqu’il nous introduira parfaitement dans le mystère du Christ
et que nous pourrons tout voir à travers son regard. En outre, dans chaque pays
ou région, peuvent être cherchées des solutions plus inculturées, attentives
aux traditions et aux défis locaux. Car « les cultures sont très diverses entre
elles et chaque principe général […] a besoin d’être inculturé, s’il veut être
observé et appliqué ».[3] (Amoris laetitia, no. 3)
Où sont les enfants ?
260.
La famille ne peut renoncer à être un lieu de protection, d’accompagnement,
d’orientation, même si elle doit réinventer ses méthodes et trouver de
nouvelles ressources. Elle a besoin de se demander à quoi elle veut exposer ses
enfants. Voilà pourquoi, elle ne doit pas éviter de s’interroger sur ceux qui
sont chargés de leur divertissement et de leurs loisirs, sur ceux qui rentrent
dans leurs chambres à travers les écrans, sur ceux à qui ils les confient pour
qu’ils les guident dans leur temps libre. Seuls les moments que nous passons
avec eux, parlant avec simplicité et affection des choses importantes, et les
possibilités saines que nous créons pour qu’ils occupent leur temps,
permettront d’éviter une invasion nuisible. Il faut toujours rester vigilant.
L’abandon n’est jamais sain. Les parents doivent orienter et prévenir les
enfants ainsi que les adolescents afin qu’ils sachent affronter les situations
où il peut y avoir des risques d’agression, d’abus ou de toxicomanie, par exemple.
261.
Mais l’obsession n’éduque pas ; et on ne peut pas avoir sous contrôle
toutes les situations qu’un enfant pourrait traverser. Ici, vaut le principe
selon lequel « le temps est supérieur à l’espace ».[291] C’est-à-dire
qu’il s’agit plus de créer des processus que de dominer des espaces. Si un
parent est obsédé de savoir où se trouve son enfant et de contrôler tous ses
mouvements, il cherchera uniquement à dominer son espace. De cette manière, il
ne l’éduquera pas, ne le fortifiera pas, ne le préparera pas à affronter les
défis. Ce qui importe surtout, c’est de créer chez l’enfant, par beaucoup
d’amour, des processus de maturation de sa liberté, de formation, de croissance
intégrale, de culture d’une authentique autonomie. C’est seulement ainsi que
cet enfant aura en lui-même les éléments nécessaires pour savoir se défendre
ainsi que pour agir intelligemment et avec lucidité dans les circonstances
difficiles. Donc, la grande question n’est pas: où se trouve l’enfant
physiquement, avec qui il est en ce moment, mais : où il se trouve dans un
sens existentiel, où est-ce qu’il se situe du point de vue de ses convictions,
de ses objectifs, de ses désirs, de son projet de vie. Par conséquent, les
questions que je pose aux parents sont: « Essayons-nous de
comprendre ‘‘où’’ en sont réellement les enfants sur leur chemin? Où est
réellement leur âme, le savons-nous? Et surtout, cela nous intéresse-t-il de
le savoir? ».[292] (Amoris laetitia, nos 260 et 261)
Et voici ce que le pape avait dit dans sa précédente exhortation apostolique:
Le temps est supérieur à l’espace
222. Il y a une tension bipolaire entre la plénitude et
la limite. La plénitude provoque la volonté de tout posséder, et la limite est
le mur qui se met devant nous. Le “temps”, considéré au sens large, fait
référence à la plénitude comme expression de l’horizon qui s’ouvre devant nous,
et le moment est une expression de la limite qui se vit dans un espace
délimité. Les citoyens vivent en tension entre la conjoncture du moment et la
lumière du temps, d’un horizon plus grand, de l’utopie qui nous ouvre sur
l’avenir comme cause finale qui attire. De là surgit un premier principe pour
avancer dans la construction d’un peuple : le temps est supérieur à l’espace.
223. Ce principe permet de travailler à long terme, sans
être obsédé par les résultats immédiats. Il aide à supporter avec patience les
situations difficiles et adverses, ou les changements des plans qu’impose le
dynamisme de la réalité. Il est une invitation à assumer la tension entre
plénitude et limite, en accordant la priorité au temps. Un des péchés qui
parfois se rencontre dans l’activité socio-politique consiste à privilégier les
espaces de pouvoir plutôt que les temps des processus. Donner la priorité à
l’espace conduit à devenir fou pour tout résoudre dans le moment présent, pour
tenter de prendre possession de tous les espaces de pouvoir et
d’auto-affirmation. C’est cristalliser les processus et prétendre les détenir.
Donner la priorité au temps c’est s’occuper d’initier des processus plutôt
que de posséder des espaces. Le temps ordonne les espaces, les éclaire et
les transforme en maillons d’une chaîne en constante croissance, sans chemin de
retour. Il s’agit de privilégier les actions qui génèrent les dynamismes
nouveaux dans la société et impliquent d’autres personnes et groupes qui les
développeront, jusqu’à ce qu’ils fructifient en évènement historiques
importants. Sans inquiétude, mais avec des convictions claires et de la
ténacité.
224. Parfois, je me demande qui sont ceux qui dans le
monde actuel se préoccupent vraiment de générer des processus qui construisent
un peuple, plus que d’obtenir des résultats immédiats qui produisent une rente
politique facile, rapide et éphémère, mais qui ne construisent pas la plénitude
humaine. L’histoire les jugera peut-être selon le critère qu’énonçait Romano
Guardini : «L’unique modèle pour évaluer correctement une époque est de
demander jusqu’à quel point se développe en elle et atteint une authentique
raison d’être la plénitude de
l’existence humaine, en accord avec le caractère particulier et les possibilités de la même époque ».[182]
225. Ce critère est aussi très adapté à l’évangélisation, qui
demande d’avoir présent l’horizon, d’adopter les processus possibles et les
larges chemins. Le Seigneur lui-même en sa vie terrestre a fait comprendre de
nombreuses fois à ses disciples qu’il y avait des choses qu’ils ne pouvaient
pas comprendre maintenant, et qu’il était nécessaire d’attendre l’Esprit Saint
(cf. Jn 16, 12-13). La parabole du grain et de
l’ivraie (cf. Mt 13, 24-30) décrit un aspect important
de l’évangélisation qui consiste à montrer comment l’ennemi peut occuper
l’espace du Royaume et endommager avec l’ivraie, mais il est vaincu par la
bonté du grain qui se manifeste en son temps. (La joie de l’Évangile, nos 222 - 225)
Déjà vers la fin de l’encyclique Lumen
fidei, le pape François développait cette idée:
« Dans l’unité avec la foi et la charité, l’espérance nous projette vers un avenir certain, qui se situe dans une perspective différente des propositions illusoires des idoles du monde, mais qui donne un nouvel élan et de nouvelles forces à la vie quotidienne. Ne nous faisons pas voler l’espérance, ne permettons pas qu’elle soit rendue vaine par des solutions et des propositions immédiates qui nous arrêtent sur le chemin, qui « fragmentent » le temps, le transformant en moments; c’est le temps qui gouverne les moments, qui les éclaire et les transforme en maillons d’une chaîne, d’un processus. L’espace fossilise le cours des choses, le temps projette au contraire vers l’avenir et incite à marcher avec espérance. » (Pape François, Lumen fidei, no. 57)
« Dans l’unité avec la foi et la charité, l’espérance nous projette vers un avenir certain, qui se situe dans une perspective différente des propositions illusoires des idoles du monde, mais qui donne un nouvel élan et de nouvelles forces à la vie quotidienne. Ne nous faisons pas voler l’espérance, ne permettons pas qu’elle soit rendue vaine par des solutions et des propositions immédiates qui nous arrêtent sur le chemin, qui « fragmentent » le temps, le transformant en moments; c’est le temps qui gouverne les moments, qui les éclaire et les transforme en maillons d’une chaîne, d’un processus. L’espace fossilise le cours des choses, le temps projette au contraire vers l’avenir et incite à marcher avec espérance. » (Pape François, Lumen fidei, no. 57)
Que veut dire le pape par cet énoncé: « le temps est supérieur à l’espace »? Ce n'est pas facile à comprendre, sans des exemples concrets. Voici comment j'applique ce principe à ce que nous vivons aujourd'hui. L'Église au Québec, dépense beaucoup de temps, d'efforts et d'argent, pour maintenir des structures, des espaces ecclésiaux. Mais peu de personnes ont une vision d'avenir. C'est la vision d'avenir qui compte le plus. C'est pour cette raison qu'en ce moment, en notre paroisse, nous mettons l'accent sur les Cellules Paroissiales d'Évangélisation. Voilà une façon de "faire Église " qui ne coûte pas cher et qui est porteuse d'espérance. Nous vivons en ce moment ce que le peuple de Dieu a vécu lors de son exil à Babylone. Le peuple a dû se départir de bien des choses, sauf de l'essentiel.
"Le temps prime sur l´espace" : que veut dire le Pape François ? - KTO
www.ktotv.com/.../le-temps-prime-sur-l-espace-que-veut-dire-le-pa...
13 avr. 2017 - Ajouté par KTOTV
Le pape François a plusieurs fois répété comme un principe essentiel que le temps prime sur l´espace. Cela nous ...Voici maintenant un texte écrit par Sœur Lorraine Caza, cnd :
Quatre principes fondamentaux proposés par
notre frère François pour construire une communauté où la paix peut fleurir
Dans la
merveilleuse Exhortation Evangelii Gaudium du pape François qui a suivi le synode
sur la nouvelle évangélisation, le chapitre quatre est consacré à la dimension
sociale de l'évangélisation (1). Notre père et frère François nous avertit, au
tout début de ce développement substantiel, qu'il n'a pas l'intention de nous
offrir une synthèse de toute la doctrine sociale de l'Église, mais qu'il veut
nous aider à réfléchir sur deux points : l'intégration sociale des pauvres (2),
la paix et le dialogue social (3).
Mais
cette paix, pouvons-nous vraiment y parvenir si nous n'engageons pas toutes nos
énergies à construire les communautés humaines auxquelles nous appartenons :
familles, communautés de vie consacrée, société civile, Église? Pour réussir
cette construction, le pape François nous convie à appliquer quatre principes
fondamentaux:
Le temps est supérieur à l'espace (4).
L'unité prévaut sur le conflit (5).
La réalité est plus importante que l'idée (6).
Le tout est supérieur à la partie (7).
Une
première lecture de ces énoncés pourrait nous trouver perplexes, surpris...
mais à qui prend soin de les approfondir, ils pourraient être d'un grand
secours pour accéder à une vie communautaire porteuse de paix.
1. Pour
avancer dans la construction d'un peuple, rappelez-vous toujours, nous dit
François, que « le temps est
supérieur à l'espace ».
Passé le
moment de surprise, j'ai lu et relu plusieurs fois les numéros 222 à 225. Il y
est question de la tension entre plénitude et limite, entre temps et moment.
Considéré au sens large, le temps « fait référence à la plénitude » et le
moment « est une expression de la limite ». Notre vie, elle se passe « en
tension entre la conjoncture du moment et la lumière du temps, d'un horizon
plus grand, de l'utopie qui nous ouvre sur l'avenir ».
Si vous
donnez priorité au temps sur l'espace, nous dit François, cela vous « permet de
travailler à long terme, sans être obsédé par les résultats immédiats », vous «
aide à supporter avec patience les situations difficiles et adverses ou les
changements de plans qu'impose le dynamisme de la réalité ». Au fond, ce que
notre frère François compare, ce sont « les espaces de pouvoir » et « les temps
des processus ».
Prioriser
l'espace, dans cette perspective, c'est « devenir fou pour tout résoudre dans
le moment présent, pour tenter de prendre possession de tous les espaces de
pouvoir et d'auto-affirmation ». Prioriser le temps, « c’est s'occuper
d'initier des processus plutôt que de posséder des espaces ». François pose la
question : « Qui sont les personnes qui, dans le monde actuel, se préoccupent
vraiment de générer des processus qui construisent un peuple? »
L'évangélisation est œuvre de patience. Dans la lumière de Jn 16, 12s et de Mt
13, 24-30, ne sommes-nous pas invités à « avoir présent l'horizon », à «
adopter les processus possibles et les larges chemins ».
2. Le
grand principe: « L'unité prévaut sur le
conflit » est aussi fondateur pour construire une communauté
Comment
peut-on se situer face à un conflit? François évoque trois réponses possibles.
On peut regarder le conflit et passer devant lui comme si de rien n'était. On
peut entrer dans le conflit et en rester prisonniers, « perdre l'horizon » et
alors, « l'unité devient impossible ». La troisième solution, qui est
préconisée par François, « c'est d'accepter de supporter le conflit, de le
résoudre et de le transformer en maillon d'un nouveau processus ». Adopter la
troisième voie face au conflit nous permettra « de développer une communion
dans les différences ». Savons-nous regarder les autres dans leur dignité la
plus profonde? En développant une authentique solidarité avec nos sœurs et nos
frères, prenons-nous conscience que cette solidarité est « une manière de faire
l'histoire », qu'elle nous oriente vers « une unité multiforme », une unité «
qui engendre une nouvelle vie ».
François
déclare que le signe distinctif de cette unité et de cette réconciliation de
tout dans le Christ est la paix et il renvoie à Ep 2, 14 et à Col 1, 20. Pour
François, le premier domaine où la pacification dans les différences se
conquiert, c'est «notre propre intériorité, notre propre vie toujours menacée
par la dispersion dialectique». Rappelez-vous, nous dit François, que «le
Christ a tout unifié en lui», que «l'unité de l'Esprit harmonise toutes les
diversités». Travaillez sans cesse à faire émerger «une diversité réconciliée».
3. Un
troisième principe doit être mis en œuvre si l'on veut construire la communauté
: ne jamais oublier que « la réalité est
plus importante que l'idée ».
«
Instaurez, conseille François, un dialogue permanent entre la réalité et
l'idée. » Évitez « diverses manières d'occulter la réalité ». J'aime l'image
employée par François: N'allez pas remplacer la gymnastique par la cosmétique;
ne réduisez pas la politique ou la foi à la rhétorique. Et si l'on cherche dans
l'Évangile un fondement à cette priorité donnée à la réalité sur l'idée, ne
sommes-nous pas renvoyés à l'Incarnation? Une parole déjà incarnée et qui
cherche toujours à s'incarner, voilà qui est « essentiel à l'évangélisation ».
Prioriser
la réalité, dit encore François, c'est « valoriser l'histoire de l'Église comme
histoire du salut »; « nous souvenir de nos saints qui ont inculturé l'Évangile
dans la vie de nos peuples »; « recueillir la riche tradition bimillénaire de
l'Église »; « mettre en pratique la
Parole »; « réaliser des œuvres de justice et de charité ».
Qui n'intègre pas la Parole
à la réalité édifie sur le sable, demeure dans la pure idée et tombe « dans
l'intimisme et le gnosticisme ».
J'aime cette idée de ne pas remplacer la gymnastique par la cosmétique. La gymnastique nous fait travailler sur notre corps réel; la cosmétique, avec ses artifices, concentre notre attention sur un corps imaginaire.
4. Qui veut construire une communauté doit honorer un quatrième principe, à savoir que « le tout est supérieur à la partie ».
4. Qui veut construire une communauté doit honorer un quatrième principe, à savoir que « le tout est supérieur à la partie ».
Il faut
« prêter attention à la dimension globale », mais, en même temps, « ne pas
perdre de vue ce qui est local, ce qui nous fait marcher les deux pieds sur la
terre ». Deux extrêmes sont à éviter : 1) que les personnes « vivent dans un
universalisme abstrait et globalisant »; 2) qu'elles « se transforment en un
musée folklorique d'ermites renfermés, condamnés à répéter toujours les mêmes
choses, incapables de se laisser interpeller par ce qui est différent,
d'apprécier la beauté que Dieu répand hors de leurs frontières ».
« Ne
soyez pas trop obsédés par des questions limitées et particulières. »
Élargissez votre regard, mais faites-le sans vous « évader » ou vous «
déraciner ». Travaillez « sur ce qui est petit, avec ce qui est proche », mais
faites-le « dans une perspective plus large ». Une personne bien enracinée,
bien identifiée ne s'annihile pas lorsqu'elle « s'intègre cordialement à une
communauté »; au contraire, nous dit le pape François, « elle reçoit de
nouveaux stimulants pour son propre développement ».
En
langage chrétien, ce quatrième principe rejoint « la totalité ou l'intégrité de
l'Évangile ». Il fait place aux académiciens comme aux ouvriers, aux chefs
d'entreprise comme aux artistes; il fait place à toutes et à tous. François
redit, une fois encore, que la « mystique populaire accueille à sa manière
l'Évangile tout entier et l'incarne sous forme de prière, de fraternité, de
justice, de lutte et de fête ». Inhérent à l'Évangile est ce critère de
totalité : « L'Évangile doit être annoncé à toutes et à tous, il doit féconder
et guérir toutes les dimensions de l'homme, il doit réunir toute l’humanité à
la table du Royaume. »
Des questions pour nous:
1. Comment
mes choix, mes décisions expriment-ils que je priorise le temps? Ou que je
priorise l’espace?
2. Dans la
communauté à laquelle j’appartiens, comment gérons-nous les conflits?
3. Nos
discernements communautaires s’enracinent-ils dans nos expériences ou nos
théories?
4.
Comment, dans l’institut auquel j’appartiens, encourage-t-on, dans le travail
sur ce qui est petit, proche, le développement d’une perspective plus large? (1)
Lorraine
Caza, CND lorcaza@videotron.ca
1 Evangelii Gaudium, 176-258.
2 Ibid., 186-216.
3 Ibid., 217-258.
4 Ibid., 222-225.
5 Ibid.,
226-230.
6 Ibid.,
231-233.
7 Ibid.,
234-237
(1) [PDF]
Quatre principes fondamentaux proposés par notre ... - CRC
www.crc-canada.org/sites/default/files/.../P_%207-8-9%20L_CazaF.pdf
Merci , très éclairant et utile
RépondreSupprimerBonjour P. Guy. Heureux de vous retrouver via votre Blog. Bonne mission d'évangélisation cellulaire...
RépondreSupprimerNicolas Tremblay
Merci Nicolas !
SupprimerJ'imagine que vous étiez uni à nous du 19 au 22 mai. Priez s'il vous plaît pour nos cellules et pour que je corresponde
davantage à la grâce.
Fraternellement,
Guy, omv
Je trouve que ce principe du temps supérieur à l'espace s'applique parfaitement à la démarche d'un pèlerin. Le temps passé pendant un pèlerinage permets d'initier des processus de découverte de soi, de guérison etc. C'est beaucoup plus important que la distance parcourue, l exploit sportif...
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