mercredi 20 novembre 2024

Canonisations de Carlo et Pier Giorgio

 Canonisations de Carlo et Pier Giorgio

Bienheureux Carlo Acutis et Pier Giorgio Frassati

Mes deux Bienheureux préférés seront canonisés à des dates différentes. Je pensais que le pape François les canoniserait ensemble mais ce cher pontife fera beaucoup mieux que cela. Il canonisera chacun d'eux à des moments très symboliques. Il veut, en choisissant les moments de leur canonisation, montrer au monde entier que les adolescents et les jeunes adultes ont leurs modèles et intercesseurs au ciel. Cela fait des années que je dis que Carlo est un modèle extraordinaire pour tous, mais spécialement pour les ados et Pier Giorgio un modèle pour les jeunes adultes. MERCI SEIGNEUR POUR CETTE EXCELLENTE NOUVELLE !

En 20016, je suis allé faire un pèlerinage à Turin sur les pas de Pier Giorgio Frassati (1) et en septembre dernier j'ai fait un pèlerinage à Milan sur les pas de Carlo. (2) Vous pouvez imaginer la joie qui m'habite en ce moment. 

 On connait les dates des canonisations de Carlo Acutis et Pier Giorgio Frassati


Le pape François va canoniser Carlo Acutis lors du Jubilé des adolescents qui se tiendra à Rome du 25 au 27 avril 2025 et Pier Giorgio Frassati à l’occasion du Jubilé des jeunes, du 28 juillet au 3 août, à Rome.

Le pape François canonisera le bienheureux italien Carlo Acutis (1991-2006) lors du Jubilé des adolescents qui se tiendra à Rome du 25 au 27 avril 2025, a-t-il annoncé lors de l’audience générale du 20 novembre 2024. La canonisation du bienheureux italien Pier Giorgio Frassati (1901-1925) aura quant à elle lieu à l’occasion du Jubilé des jeunes, du 28 juillet au 3 août, à Rome. S’il n’a pas précisé les dates exactes des cérémonies de canonisation, il est probable qu’elles aient lieu le dimanche 27 avril pour Carlo Acutis et le dimanche 3 août pour Pier Giorgio Frassati. "Cela semble logique que cela se passe durant la messe de clôture de ces jubilés", juge un prêtre bien informé du diocèse de Rome. (3)





mardi 19 novembre 2024

Un an d'adoration eucharistique

 Un an d'adoration eucharistique



Cher lecteur, chère lectrice,

Dans deux jours, jeudi le 21 novembre, nous vivrons un grand jour pour nos deux paroisses. Cela fera un an que notre chapelle d'adoration eucharistique a été ouverte pour toute personne qui désire venir adorer notre doux Sauveur durant la semaine. Voici ce que vous pouvez lire sur le blogue mis en ligne le 21 novembre dernier : 

C'est parti !

L'adoration est commencée

C'est parti ! Le jour tant attendu est arrivé. Nous avons enfin une chapelle d'adoration eucharistique à Repentigny, dans la sacristie de l'église La Purification-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie. Il s'agit de la Chapelle d'adoration eucharistique Carlo Acutis en l'honneur du jeune Bienheureux qui, du haut du ciel, fait des merveilles en ce moment partout dans le monde entier. La chapelle a été inaugurée ce soir, en la fête de la Présentation de la Vierge Marie. J'ai choisi une date mariale pour inaugurer la chapelle car je fais partie d'une Congrégation mariale et nos deux églises paroissiales ont comme patronne la Vierge Marie. La chapelle sera ouverte du lundi au vendredi inclusivement, de 9h à 16h à compter de demain matin. BIENVENUE À TOUS ! (1)

Pour voir des vidéos et des photos prises en ce grand jour, veuillez cliquer sur le lien mis au bas du présent blogue. 

Depuis un an cette chapelle et le jeune Bienheureux Carlo Acutis font des merveilles dans les coeurs et dans nos paroisses. Je remercie Jésus Eucharistie pour toutes ses bontés et je lui demande d'inspirer à beaucoup de gens de créer une chapelle d'adoration eucharistique dans leur paroisse. Ce matin, lors de mon heure d'adoration, nous étions huit adorateurs et adoratrices dans la chapelle. COMME C'EST BEAU ! COMME C'EST GRAND ! 




dimanche 17 novembre 2024

APOCALYPSE = ESPÉRANCE

 APOCALYPSE = ESPÉRANCE

 

17 novembre 2024

 33ème dimanche du Temps Ordinaire (semaine I du Psautier) — Année B


Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (Mc 13, 24-32)

En ce temps-là,
Jésus parlait à ses disciples de sa venue :
    « En ces jours-là,
après une grande détresse,
le soleil s’obscurcira
et la lune ne donnera plus sa clarté ;
    les étoiles tomberont du ciel,
et les puissances célestes seront ébranlées.
    Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées
avec grande puissance et avec gloire.
    Il enverra les anges
pour rassembler les élus des quatre coins du monde,
depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel.

    Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier :
dès que ses branches deviennent tendres
et que sortent les feuilles,
vous savez que l’été est proche.
    De même, vous aussi,
lorsque vous verrez arriver cela,
sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte.
    Amen, je vous le dis :
cette génération ne passera pas
avant que tout cela n’arrive.
    Le ciel et la terre passeront,
mes paroles ne passeront pas.
    Quant à ce jour et à cette heure-là,
nul ne les connaît,
pas même les anges dans le ciel,
pas même le Fils,
mais seulement le Père. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Les gens de ma génération n'ont pas été habitué à voir dans les récits apocalyptiques des messages d'espérance. C'est bien triste mais c'est ainsi. Peut-être que les études bibliques de notre jeune temps n'étaient pas assez avancées ou counnues. Or il est important de savoir que lorsque les auteurs sacrés employaient des images terrifiantes, c'était non pas d'abord pour souligner les temps très durs qu'ils vivaient, mais pour affirmer que malgré les apparences, le Seigneur était bien présent et agissant. Et non seulement cela, mais ils voulaient dire que le Seigneur était tout près de se manifester. Il n'est donc pas surprenant de savoir que le langage apocalyptique a surtout été inventé et utilisé pour encourager les chétiens dans les temps de persécution. Mourir pour sa foi, c'est très dur. On a alors besoin d'encouragement. 

Le moment le plus sombre de l'histoire de l'humanité est le jour où Dieu, en Jésus, est mort sur une croix pour nous sauver. Voilà le moment le plus noir de toute l'histoire de l'humanité. À l'heure où Jésus est mort, le ciel s'est obscurci, la terre trembla, les tombeaux s'ouvrirent et les morts ressuscitèrent :  

"Mais Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l’esprit. Et voici que le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas ; la terre trembla et les rochers se fendirent. Les tombeaux s’ouvrirent ; les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent, et, sortant des tombeaux après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la Ville sainte, et se montrèrent à un grand nombre de gens. À la vue du tremblement de terre et de ces événements, le centurion et ceux qui, avec lui, gardaient Jésus, furent saisis d’une grande crainte et dirent : « Vraiment, celui-ci était Fils de Dieu ! " (Mt 27, 50-54)

Ce langage apocalyptique laissait entrevoir la vie nouvelle qui allait renaître. 

Dans l'évangile d'aujourd'hui, Jésus lève le voile sur le langage apocalyptique. Après avoir employé un langage terrifiant, il nous en donne l'interprétation pour la comparaison du figuier : la résurrection est proche ; le Christ est à notre porte. En langue anglaise, le dernier livre de la Bible ne s'appelle pas l'Apocalypse mais "La Révélation" (The Book of Revelation). C'est beaucoup mieux, selon moi. Le mot "révélation" nous montre que Dieu lève le voile sur la véritable signification du danger et de la mort. La mort introduit à la vie. 

Voici, ci-dessous, un beau texte qui nous fait comprendre le livre de l'Apocalypse.

Quand Apocalypse rime avec espérance

La Bible s’achève avec le livre de l’Apocalypse. Il a été écrit par Jean à une époque où l’empire romain persécutait les chrétiens car ils refusaient de rendre un culte à l’empereur. L’apôtre est alors exilé dans une petite île à l’ouest de la Turquie actuelle.

Mystérieux ? Pas pour tout le monde

Le livre rassemble des visions majestueuses et bouleversantes, exprimées dans un langage imagé. Les croyants d’alors, pouvaient les interpréter assez facilement car ils étaient familiers des autres Écritures tandis qu’elles restaient mystérieuses pour l’occupant. C’était le but, vous l’avez compris.

Les visions de Jean reprennent de plusieurs façons les mêmes thèmes. On y découvre le livre et ses sept sceaux, les sept trompettes, le dragon et les deux bêtes, l’Agneau et une multitude de rachetés, le jugement annoncé par des anges, les sept coupes de la colère de Dieu, la destruction de Babylone, la défaite de la bête, du faux prophète et du diable, le nouveau ciel, la nouvelle terre et la nouvelle Jérusalem... Le livre s’achève sur un avertissement solennel et sur la promesse du Ressuscité : « Je viens bientôt. »

Fausse piste

Les commentateurs n’interprètent pas les détails de la même manière, mais l’affirmation centrale du livre est claire : malgré le triomphe momentané des forces du mal, Jésus-Christ, le seul Seigneur et maître de l’histoire, a remporté la victoire totale et définitive pour Dieu et pour les siens.

Les lecteurs d’aujourd’hui comprendront mieux ce livre difficile, s’ils ne cherchent pas avant tout les détails d’un avenir catastrophique, mais d’abord la clé de l’intervention de Dieu dans l’histoire des hommes.

La clé pour comprendre

Depuis que le Christ est ressuscité et monté au ciel, nous sommes dans le temps de la patience de Dieu. En ce moment même, des hommes et des femmes entendent l’Évangile et donnent leur vie à Jésus. Dieu est encore inlassablement à l’œuvre et il rassemble son peuple. Quand le Christ reviendra, la porte de la grâce se fermera. Mais aujourd’hui, c’est encore le temps d’accepter la grâce offerte par le Christ.

Un message pour aujourd’hui

Les chrétiens du premier siècle avaient bien besoin de ce message d’encouragement et d’espérance. Ceux qui sont persécutés pour leur foi aujourd’hui l’apprécieront sans doute mieux que les chrétiens occidentaux qui ne connaissent pas (encore ?) la peur de la persécution même si l’hostilité est bien présente et enfle dans nos sociétés.

Du reste, nous partageons tous le même sentiment d’insécurité dans une société de plus en plus hyper violente, sans compter la peur de la maladie, de l’affaiblissement de la vieillesse, de la solitude. Le pouvoir destructeur de l’argent n’a jamais été aussi fort. Quant à la peur de devoir mourir, elle sera toujours là.

Lire l’Apocalypse, c’est découvrir que Jésus-Christ est un Seigneur et un Sauveur solide. On peut vraiment compter sur lui, quoi qu’il arrive !

Auteurs
José LONCKE (1)


jeudi 14 novembre 2024

JOURNÉE MONDIALE DES PAUVRES 17 novembre


JOURNÉE MONDIALE 

DES PAUVRES

 17 novembre


MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS
POUR LA VIIIe JOURNÉE MONDIALE DES PAUVRES

 17 novembre 2024

 La prière du pauvre s’élève jusqu’à Dieu (cf. Siracide 21, 5)

Voici des extraits du message du pape pour la journée mondiale des pauvres qui aura lieu en fin de semaine, dimanche le 17 novembre :

« La violence causée par les guerres montre bien quelle arrogance guide ceux qui se croient puissants devant les hommes, alors qu’ils sont misérables aux yeux de Dieu. Combien de nouveaux pauvres sont le produit de cette mauvaise politique faite avec des armes, combien de victimes innocentes ! Pourtant, nous ne pouvons pas reculer. Les disciples du Seigneur savent que chacun de ces “petits” porte le visage du Fils de Dieu, et notre solidarité et le signe de la charité chrétienne doivent atteindre chacun d’entre eux. « Chaque chrétien et chaque communauté sont appelés à être instruments de Dieu pour la libération et la promotion des pauvres, de manière à ce qu’ils puissent s’intégrer pleinement dans la société ; ceci suppose que nous soyons dociles et attentifs à écouter le cri du pauvre et à le secourir » (Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 187)…

En cette année consacrée à la prière (NDLR : en vue du Jubilé ordinaire de 2025), nous devons faire nôtre la prière des pauvres et prier avec eux. C’est un défi que nous devons relever et une action pastorale qui doit être encouragée. En effet, « la pire discrimination dont souffrent les pauvres est le manque d’attention spirituelle. L’immense majorité des pauvres a une ouverture particulière à la foi ; ils ont besoin de Dieu et nous ne pouvons pas négliger de leur offrir son amitié, sa bénédiction, sa Parole, la célébration des Sacrements et la proposition d’un chemin de croissance et de maturation dans la foi. L’option préférentielle pour les pauvres doit se traduire principalement par une attention religieuse privilégiée et prioritaire » (ibid., n. 200)…

Les pauvres ont encore beaucoup à enseigner, car dans une culture qui a mis la richesse au premier plan et qui sacrifie souvent la dignité des personnes sur l’autel des biens matériels, ils rament à contre-courant en indiquant que ce qui est essentiel à la vie est tout autre chose…

Si la prière ne se traduit pas par une action concrète, elle est vaine ; en effet, « la foi sans les œuvres est morte » (Jc 2, 26). Cependant, la charité sans la prière risque de devenir une philanthropie qui s’essouffle rapidement.

Dans ce contexte, il est bon de rappeler le témoignage que nous a laissé Mère Teresa de Calcutta, une femme qui a donné sa vie pour les pauvres. La sainte répétait sans cesse que la prière était le lieu où elle puisait la force et la foi pour sa mission de service aux plus démunis. Lors de son intervention à l’Assemblée Générale de l’ONU, le 26 octobre 1985, montrant à tous le chapelet qu’elle tenait toujours à la main, elle a déclaré : « Je ne suis qu’une pauvre religieuse qui prie. En priant, Jésus met son amour dans mon cœur et je vais le donner à tous les pauvres que je rencontre sur mon chemin. Vous aussi, priez ! Priez et vous vous rendrez compte des pauvres que vous avez à côté de vous. Peut-être sur le même palier de votre habitation. Peut-être même dans vos maisons, il y a ceux qui attendent votre amour. Priez, et les yeux s’ouvriront et le cœur se remplira d’amour ». (1)


(1) https://www.vatican.va/content/francesco/fr/messages/poveri/documents/20240613-messaggio-viii-giornatamondiale-poveri-2024.html

dimanche 10 novembre 2024

Sourire ou rire ?

 Sourire ou rire ?

Nabe, le Japonais qui veut faire sourire le monde entier

Je ne sais pas comment vous allez réagir à ce blogue mais le moins qu'on puisse dire, c'est que ce Japonais dont le nom est Nabe, n'est pas venu du Japon pour rien. Il dit avoir fait un voyage d'une durée de 25 heures pour venir à cette émission. Amanda, l'une des juges, lui a dit que tout le monde dans la salle lui était reconnaissant pour cet effort. Et lorsqu'elle lui a demandé pourquoi il était là, il a répondu : "Je veux faire sourire le monde à la grandeur de la planète." Il n'a pas seulement fait sourire, il a fait rire les gens. Je n'ai jamais vu les deux juges féminines, Amanda et Alesha, rire autant. 

La première fois que j'ai vu cette vidéo, j'avoue ne pas avoir trouvé cela comique. Mais je viens de la revoir à nouveau et j'ai vraiment ri. Tout dépend de notre état d'âme, de notre état de fatigue et de l'heure à laquelle nous regardons cette vidéo. Mais il est certain que le fait de voir autant rire Amanda et Alesha, a contribué à ce que je rie (subjonctif présent) cette fois-ci. 

Or should we say, "Hair-larious"... Impressionist Nabe wins a Golden Buzzer from Amanda Holden with his brilliantly silly hair impressions, ...




Donner de notre nécessaire

 Donner de notre nécessaire

L'obole de la veuve en saint Marc, au chapitre 12

L'évangile de ce dimanche, nous présente une veuve EXTRAORDINAIRE qui a tellement confiance en la Providence divine qu'elle donne tout son avoir dans le tronc qui se trouve dans la salle du trésor du Temple. 

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (Mc 12, 41-44)

En ce temps-là,
    Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor,
et regardait comment la foule y mettait de l’argent.
Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.
    Une pauvre veuve s’avança
et mit deux petites pièces de monnaie.
    Jésus appela ses disciples et leur déclara :
« Amen, je vous le dis :
cette pauvre veuve a mis dans le Trésor
plus que tous les autres.
    Car tous, ils ont pris sur leur superflu,
mais elle, elle a pris sur son indigence :
elle a mis tout ce qu’elle possédait,
tout ce qu’elle avait pour vivre. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Le pape François, parlant de cette page des évangiles, nous rapporte un fait qui s'est passé en Argentine, dans son précédent diocèse. Voir ci-dessous

PAPE FRANÇOIS

ANGÉLUS

Place Saint-Pierre
Dimanche 8 novembre 2015

Je me permets de vous raconter une anecdote, qui est arrivée dans mon précédent diocèse. Une mère et ses trois enfants étaient à table ; le papa était au travail ; ils mangeaient des escalopes milanaises... À ce moment là, on frappe à la porte et l’un des enfants — petits, 5 et 6 ans, le plus grand 7 ans — vient et dit : « Maman, il y a un mendiant qui demande à manger ». Et la maman, une bonne chrétienne, leur demande : « Que faisons-nous ? » — « Donnons-lui quelque chose maman... » — « D’accord ». Elle prend une fourchette avec un couteau et coupe la moitié de chaque escalope. « Ah non, maman, non ! Pas comme ça ! Prends dans le réfrigérateur » — « Non, faisons trois sandwich comme ça ! ». Et les enfants ont appris que la véritable charité se donne, elle ne se fait pas avec ce qui est en plus, mais avec ce qui nous est nécessaire. Je suis certain qu’au cours de l’après-midi, ils ont eu un peu faim... Mais c’est comme cela qu’il faut faire !

Face aux besoins du prochain, nous sommes appelés à nous priver — comme ces enfants, de la moitié des escalopes — de quelque chose d’indispensable, pas seulement du superflu ; ...  

Demandons au Seigneur de nous admettre à l’école de cette pauvre veuve, que Jésus, à la stupéfaction des disciples, ... présente comme maîtresse d’Évangile vivant. Par l’intercession de Marie, la femme pauvre qui a donné toute sa vie à Dieu pour nous, demandons le don d’un cœur pauvre, mais riche d’une générosité joyeuse et gratuite.



  

Jour du Seigneur : Jour de JOIE

 Jour du Seigneur : Jour de JOIE

Photo prise ce matin, d'une fenêtre de notre presbytère

"Voici le jour que fit le Seigneur,
qu'il soit pour nous jour de fête et de joie !" (Psaume 117, verset 24)
 
Aujourd'hui, le ciel et la terre se réjouissent car nous accueillons de façon festive les nouveaux paroissiens de nos deux paroisses. De plus, un de mes confrères Oblats de la Vierge Marie vit aujourd'hui un moment important et joyeux dans sa vie. 

Même le ciel extérieur montre sa joie aujourd'hui et brille de tous ses feux.