Nos vignerons homicides
Hier à la messe, l’Église nous
présentait la parabole de Jésus communément appelée la parabole des « vignerons homicides ». J’ai été
frappé par l’actualité de cette parabole. Le fait suivant m’a sauté aux
yeux : nous avons-nous aussi au Québec en 2017, « nos vignerons homicides ». Voici la parabole de Jésus, pour
les gens qui ne la connaîtraient pas:
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce
temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple:
« Écoutez cette parabole :
Un homme était propriétaire d’un domaine;
il planta une vigne, l’entoura d’une clôture,
y creusa un pressoir et bâtit une tour de garde.
Puis il loua cette vigne à des vignerons, et partit en voyage.
Quand arriva le temps des fruits,
il envoya ses serviteurs auprès des vignerons
pour se faire remettre le produit de sa vigne.
Mais les vignerons se saisirent des serviteurs,
frappèrent l’un, tuèrent l’autre, lapidèrent le troisième.
De nouveau, le propriétaire envoya d’autres serviteurs
plus nombreux que les premiers; mais on les traita de la même façon.
Finalement, il leur envoya son fils, en se disant: ‘Ils respecteront mon fils.’
Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux:
‘Voici l’héritier ! Allons, tuons-le, et nous aurons son héritage !’
Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
Eh bien ! quand le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? »
On lui répond: « Ces misérables, il les fera périr misérablement.
Il louera la vigne à d’autres vignerons, qui lui en remettront le produit en temps voulu. »
Jésus leur dit : « N’avez-vous jamais lu dans les Écritures:
‘La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d’angle.
C’est là l’œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux!‘
Aussi, je vous le dis: Le royaume de Dieu vous sera enlevé
pour être donné à une nation qui lui fera produire ses fruits. »
« Écoutez cette parabole :
Un homme était propriétaire d’un domaine;
il planta une vigne, l’entoura d’une clôture,
y creusa un pressoir et bâtit une tour de garde.
Puis il loua cette vigne à des vignerons, et partit en voyage.
Quand arriva le temps des fruits,
il envoya ses serviteurs auprès des vignerons
pour se faire remettre le produit de sa vigne.
Mais les vignerons se saisirent des serviteurs,
frappèrent l’un, tuèrent l’autre, lapidèrent le troisième.
De nouveau, le propriétaire envoya d’autres serviteurs
plus nombreux que les premiers; mais on les traita de la même façon.
Finalement, il leur envoya son fils, en se disant: ‘Ils respecteront mon fils.’
Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux:
‘Voici l’héritier ! Allons, tuons-le, et nous aurons son héritage !’
Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
Eh bien ! quand le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? »
On lui répond: « Ces misérables, il les fera périr misérablement.
Il louera la vigne à d’autres vignerons, qui lui en remettront le produit en temps voulu. »
Jésus leur dit : « N’avez-vous jamais lu dans les Écritures:
‘La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d’angle.
C’est là l’œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux!‘
Aussi, je vous le dis: Le royaume de Dieu vous sera enlevé
pour être donné à une nation qui lui fera produire ses fruits. »
– Acclamons la Parole
de Dieu tirée de l’évangile selon Matthieu, chapitre 21, versets 33 à 43.
L’évangéliste Matthieu nous dit
à qui s’adresse cette parabole; elle s’adresse aux responsables du peuple de
Dieu à l’époque de Jésus. Ces gens étaient très bien considérés par le peuple
et se considéraient eux-mêmes comme étant des justes, comme voyant les choses
et les événements de la bonne façon. Or, à cause précisément de leur orgueil et
de leur aveuglement, ils tuaient les véritables envoyés de Dieu: les prophètes.
Et ils s’apprêtaient à tuer l’Envoyé de Dieu par excellence: son Fils
bien-aimé. Les grands prêtres et les anciens du peuple ont très bien compris que
Jésus parlait d’eux et après avoir entendu cette parabole, ils voulaient encore
davantage le faire mourir.
Je vais vous partager ce qui
constitue pour moi une de mes plus grandes souffrances en tant que prêtre au
Québec en 2017. Je célèbre des funérailles depuis des années en tant que curé de
paroisse. Mais un élément nouveau est apparu dans le décor: la loi civile injuste
et infâme, que nos dirigeants se plaisent à appeler « aide médicale à mourir » ou « mourir dans la dignité » .
Au Québec, les médecins ont le droit de tuer impunément leurs patients. Le « serment
d’Hippocrate » que tout médecin est censé avoir prononcé un jour,
s’est converti de nos jours au Québec (et
malheureusement ailleurs aussi) en « serment d’hypocrites ».
Car les responsables de la société civile au Québec, laissent entendre qu’ils
veulent le bien des individus, mais tout le monde sait très bien que tout comme
les vignerons homicides de la parabole, ce qu’ils veulent, c'est l'HÉRITAGE. Nos dirigeants veulent non pas "le bien" des individus qu'ils désirent tuer, mais plutôt "leurs biens", c'est-à-dire leur argent. L'État n'a plus les moyens de laisser les gens vivre leur vie jusqu'au bout. Nos décideurs publics ont alors décidé non seulement de couper dans les services, mais de COUPER DANS LES VIES. Ils veulent ainsi économiser de l’argent pour
renflouer leurs coffres. Peu importe ce que peut en penser le MAÎTRE de la vie. Je vous encourage fortement à visionner la vidéo mise au bas du présent blogue. Monsieur Aubert Martin, directeur général de l'organisme québécois " Vivre dans la Dignité " dit clairement qu'un des effets les plus pervers de la "nouvelle loi" consiste dans le fait que nos dirigeants présentent l'euthanasie comme étant un BIEN; un bien pour les individus et un bien pour la société. C'est quand même incroyable, n'est-ce pas?
On ne semble pas s’apercevoir que les mots mêmes pour décrire la loi, sont une contradiction dans les termes. Quand on dit « aide médicale à mourir », on insinue que la médecine n’a pas pour but unique d’être au service de la vie, mais qu’elle peut tout aussi bien être au service de la mort. Les soins palliatifs permis et encouragés par l’Église, ne sont pas au service de la mort; ils sont au service de la vie du patient, lui permettant de finir ses jours sans douleur. On ne met pas en oeuvre des actes médicaux pour faire mourir le patient; on les met en oeuvre pour le soulager. La loi civile qui permet désormais l’euthanasie, a pour but littéralement de faire mourir les gens. C'est quand même incroyable qu'on en soit arrivé là.
On ne semble pas s’apercevoir que les mots mêmes pour décrire la loi, sont une contradiction dans les termes. Quand on dit « aide médicale à mourir », on insinue que la médecine n’a pas pour but unique d’être au service de la vie, mais qu’elle peut tout aussi bien être au service de la mort. Les soins palliatifs permis et encouragés par l’Église, ne sont pas au service de la mort; ils sont au service de la vie du patient, lui permettant de finir ses jours sans douleur. On ne met pas en oeuvre des actes médicaux pour faire mourir le patient; on les met en oeuvre pour le soulager. La loi civile qui permet désormais l’euthanasie, a pour but littéralement de faire mourir les gens. C'est quand même incroyable qu'on en soit arrivé là.
Dans ma paroisse, il est assez
courant que les personnes qui désirent des funérailles à l’église pour un être
cher qui vient de mourir, optent pour une exposition des cendres ou du corps à
l’église une heure avant les funérailles. De la sorte, les parents et amis
peuvent venir offrir leurs condoléances aux personnes dans le deuil. Je me
rends alors auprès de la famille quinze minutes avant les funérailles, pour
offrir mes condoléances et avoir un peu de détails sur la personne décédée. Je
pose toujours la question suivante aux membres de la famille: « Quelle était, selon vous, la qualité
principale de votre mari, ou père, ou mère, dépendamment ? » Cela me
permet de connaître un peu le défunt ou la défunte et de pouvoir dire un mot
sur lui ou sur elle durant l’homélie. Je pose aussi, autant que possible, la
question suivante: « Avait-il (ou
elle) la foi ? ». Depuis quelque temps, j’entends comme réponse: « Oui, il était très croyant, il allait
à la messe tout le temps quand il était en forme. » Et j’apprends
quelques instants plus tard, « par
la bande » (indirectement) que la personne décédée a demandé « l’aide
médicale à mourir ». Lorsque j’entends ces données tellement
contradictoires sur le défunt ou la défunte, les deux bras me tombent et je n’ai
plus du tout le goût de célébrer les funérailles. Je les célèbre quand même
avec la meilleure volonté dont je suis capable, parce que nos évêques ici au
Québec nous demandent de faire cela. Mais, comme je l’ai dit hier durant mon
homélie, je préférerais à cause de cela et uniquement pour cette raison, vivre
dans l’Ouest canadien, où les évêques demandent aux prêtres de ne pas célébrer
de funérailles pour les personnes qui ont demandé « l’aide médicale à mourir ». Je vous donnerai les raisons de cette préférence dans un instant. Ces derniers mois, j'ai abordé à deux reprises dans mes homélies dominicales, le thème du présent blogue; l'une de ces fois étant, bien sûr, l'homélie que j'ai prononcée hier. À ces deux reprises, j'ai dit à mes paroissiens " NE ME FAITES PAS CE COUP-LÀ ", en parlant du fait de demander l'euthanasie et des funérailles à l'église.
Lorsque j’ai été mis au courant
pour la première fois de cette prise de position des évêques de l’ouest du
pays, je l’ai jugée très sévère, trop sévère même, et pas assez miséricordieuse.
Je la juge maintenant tout à fait appropriée pastoralement parlant et tout à fait cohérente. Car cette
décision des évêques a pour but de réveiller la conscience des personnes qui se
disent catholiques et bons chrétiens, bonnes chrétiennes. Comment peut-on se
prétendre bon chrétien et demander à ce qu’on nous tue? Demander à être tué,
est très grave. Cela implique la personne qui demande à être tuée, la personne qui tue, les personnes qui seront témoins ou mis au courant de cette décision et qui seront soit d'accord, soit scandalisées. Ce n’est pas un acte banal. C’est un acte qui, normalement, est
susceptible de couper la personne qui le pose, de la communion avec Dieu, ce que fait d’ailleurs tout
péché grave ou mortel. Comment peut-on poser un geste aussi grave juste avant
de mourir et désirer avoir la bénédiction de Dieu sur sa mort lors des funérailles?
Il n’y pas grand temps ici, pour la conversion; pas grand temps entre la
demande d’être tué et le fait d’être tué. On me citera peut-être ici la remarque de saint Jean-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, qui a fortement encouragé une mère dont le fils s'était suicidé en se jetant en bas d'un pont. Le curé d'Ars lui a dit: " Chère madame, votre fils, s'est tourné vers Dieu entre le pont et l'eau." Et même si cet homme, ou ce jeune homme, ne s'était pas tourné vers Dieu entre le pont et l'eau, l'Église aurait volontiers célébré ses funérailles. Car nous savons que la plupart des personnes qui se suicident, sont en état de dépression nerveuse et de "dépression grave"; elles ne sont donc pas pleinement responsables de leurs actes. J'en sais quelque chose, ayant moi-même fait une sévère dépression après quinze ans de vie sacerdotale et ayant eu des idées suicidaires (1). Mais tel n'est pas le cas d'une personne que le gouvernement du Québec juge apte à recevoir "l'aide médicale à mourir". Il faut dans ce cas précis, que la personne soit "totalement libre" et consciente de ce qu'elle demande. Cela veut dire qu'elle devrait être aussi consciente de la gravité de l'acte qu'elle pose.
La raison principale, selon moi, pour laquelle les évêques de l’ouest ont pris cette décision, c’est pour réveiller les consciences endormies et chloroformées de leurs fidèles. Si les gens ne semblent plus capables de juger par eux-mêmes de la gravité de leurs actes, ils doivent être guidés et éclairés par leurs pasteurs. Bientôt, si les choses ne changent pas radicalement, il n'y aura plus de différence dans la mort entre croyants et incroyants. Plusieurs de nos concitoyens qui sont baptisés et se prétendent de bons chrétiens, se considéreront comme les maîtres de leur vie et décideront en toute connaissance de cause de se faire tuer. Comme cela est triste, surtout pour ceux et celles qui,comme moi, considèrent le moment de la mort comme étant l'apothéose d'une vie humaine, le moment où l'on remet notre vie amoureusement entre les mains du Père éternel, et non pas entre les mains d'un meurtrier.
Refuser des funérailles religieuses à un baptisé catholique qui a librement décidé de se donner la mort (suicide assisté) ou de permettre à quelqu'un de le tuer (euthanasie), ce n'est pas le condamner à l'enfer. C'est simplement signifier haut et fort que devant un geste aussi grave, les représentants de l'Église ne peuvent pas cautionner un tel geste et préfèrent laisser à Dieu la tâche et la prérogative de juger la conscience de la personne décédée.
La raison principale, selon moi, pour laquelle les évêques de l’ouest ont pris cette décision, c’est pour réveiller les consciences endormies et chloroformées de leurs fidèles. Si les gens ne semblent plus capables de juger par eux-mêmes de la gravité de leurs actes, ils doivent être guidés et éclairés par leurs pasteurs. Bientôt, si les choses ne changent pas radicalement, il n'y aura plus de différence dans la mort entre croyants et incroyants. Plusieurs de nos concitoyens qui sont baptisés et se prétendent de bons chrétiens, se considéreront comme les maîtres de leur vie et décideront en toute connaissance de cause de se faire tuer. Comme cela est triste, surtout pour ceux et celles qui,comme moi, considèrent le moment de la mort comme étant l'apothéose d'une vie humaine, le moment où l'on remet notre vie amoureusement entre les mains du Père éternel, et non pas entre les mains d'un meurtrier.
Refuser des funérailles religieuses à un baptisé catholique qui a librement décidé de se donner la mort (suicide assisté) ou de permettre à quelqu'un de le tuer (euthanasie), ce n'est pas le condamner à l'enfer. C'est simplement signifier haut et fort que devant un geste aussi grave, les représentants de l'Église ne peuvent pas cautionner un tel geste et préfèrent laisser à Dieu la tâche et la prérogative de juger la conscience de la personne décédée.
J’espère que vous savez qu’il y
une peine d’excommunication pour toute personne qui a recours à l’avortement,
pour toute personne qui encourage quelqu’un à avorter et pour toute personne qui
pratique un avortement. Pourquoi est-ce que je dis que j’espère que vous savez
cela? Je dis cela parce que si vous le savez, vous savez exactement ce que
pense l’Église de Jésus Christ sur l’avortement. Pour l’Église de Jésus Christ,
pour Dieu, l’avortement n’est pas seulement un crime; c’est un CRIME
ABOMINABLE. Il n’y pas d’excommunication pour quelqu’un qui tue un être humain
déjà né. Mais il y a une excommunication pour quelqu’un qui tue ou fait tuer un
enfant dans le sein de sa mère. L’Église veut ainsi dire comment Dieu voit les
choses. Dans certains cas, l’intelligence humaine est tellement enténébrée,
mêlée, influencée par les idées de gens qui ne croient pas en Dieu et qui
croient que nous ne sommes que de la matière qui disparaîtra totalement ou
presque totalement un jour, qu’elle ne voit plus ce qui est GRAVE et même ce
qui est TRÈS GRAVE.
Ceci étant dit, la très grande
majorité des personnes qui ont recours à l’avortement, ne sont pas excommuniées
car elles ne savent pas qu’il y a une peine d’excommunication attachée à
ce grave péché. Pour encourir l’excommunication, pour être excommunié, il faut
savoir que l’Église a associé la peine de l'excommunication à l'avortement et commettre le péché
quand même.
Pour finir, et pour appliquer la pensée exprimée dans la parabole des vignerons homicides, il faut dire ceci
clairement et avec force: Toute personne qui tue un être humain, tue le FILS, le Fils étant ici Jésus Christ
notre Seigneur, qui a dit:
« Je vous le déclare, et c’est la vérité, tout ce que
vous avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez
fait. » (Évangile selon saint
Matthieu, chapitre 25, 40)
Post scriptum: Plusieurs personnes sont contre l'euthanasie parce qu'elles craignent les "dérapages". Or, depuis deux, les dérapages ont été très nombreux comme le prouve à l'évidence la vidéo mise ci-dessous. Mais cette façon de voir me fait un peu sourire car penser ainsi semble manifester que l'on ne voit pas dans la loi le plus grand dérapage qui soit: cautionner par la loi, en changeant volontairement le code criminel, le meurtre et le suicide. Quel dérapage plus grand peut-on et doit-on craindre?
Post scriptum: Plusieurs personnes sont contre l'euthanasie parce qu'elles craignent les "dérapages". Or, depuis deux, les dérapages ont été très nombreux comme le prouve à l'évidence la vidéo mise ci-dessous. Mais cette façon de voir me fait un peu sourire car penser ainsi semble manifester que l'on ne voit pas dans la loi le plus grand dérapage qui soit: cautionner par la loi, en changeant volontairement le code criminel, le meurtre et le suicide. Quel dérapage plus grand peut-on et doit-on craindre?
Conférence sur l'euthanasie / Euthanasia Conference - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=GrrAhvVg7YY
Il y a 4 jours - Ajouté par Église catholique à Montréal
Le mardi 17 octobre 2017, une soirée de réflexion sur les dimensions spirituelle, médicale et pastorale de la mort ...(1)
3. Guérison par l'intercession de Saint Joseph et du Saint ... - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=S4x-KBs4Vi4
24 avr. 2015 - Ajouté par Guy Simard, omv
Merci pour le partage. Très émue, avec plein d'amour, de vie et de grâce. MERCI pour ce moment de profonde ...Questions pour un partage:
Note: Avant de partager, s'assurer que la parabole de Jésus a été lue en son entier.
Y a-t-il des personnes de ma parenté ou des amis qui ont demandé "l'aide médicale à mourir". Si oui, comment me suis-je senti face à cela?
Le pape François nous a dit dernièrement que le fait de ne pas prier pour nos dirigeants, est un péché. Est-ce qu'il m'arrive de prier pour nos dirigeants. Si je ne le fais pas, quelle en est la raison?
Pour entendre le pape lui-même nous dire que c'est un péché, regardez cette vidéo:
Ne pas prier pour les dirigeants est un péché - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=1lOBOTumEB0
18 sept. 2017 - Ajouté par The Vatican - Français
... doivent demander la sagesse pour gouverner et le peuple doit le soutenir par la prière. Ainsi s'est exprimé ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire