Merci pour le Frère Jacques Bélanger,
o.f.m . cap.
Une amie m’a écrit ceci
hier :
Cher ami,
En cette veille du Jeudi Saint, je prie avec vous et pour
vous.
Bonne journée de congé! Je ne sais pas si vous y
arriverez, mais je sais que, ce soir, ça sera un baume pour vous.
Comme vous le savez, hier était le Mercredi Saint. Je me
suis demandé à quoi pouvait bien penser cette amie en me prédisant un baume
pour la soirée.
J’ai de fait reçu un baume alors que j’étais hier soir à la Cathédrale de Montréal, dédiée à Marie Reine du Monde. Alors que nous
étions plusieurs dizaines de prêtres dans la sacristie, à attendre l’heure de
la messe, je me suis retrouvé face à face avec le Père Jacques Charron, Père
Missionnaire d’Afrique (Pères Blancs). J’ai connu le Père Charron récemment,
alors qu’il est venu faire une prédication missionnaire en notre paroisse. En
parlant au Père Charron, je ne sais vraiment pas pourquoi je me suis mis à lui
raconter ce qui s’était passé le premier soir de notre retraite paroissiale,
alors que le prêtre prédicateur de la retraite s’est senti très mal et a été
conduit à l’hôpital. C’est alors que le Père Charron me demande: « Est-ce que vous parlez du Frère Jacques
Bélanger? ». J’ai été tellement étonné de sa question. Je ne savais
pas qu’il connaissait mon bon ami capucin. C’est alors que le Père Charron se
tourne vers sa gauche et en me montrant le prêtre qui était à côté de lui, me
dit: « Nous parlions justement du Frère Bélanger ». Le prêtre
qui était à côté de lui et qui, de fait, était aussi à côté de moi, à ma droite, mais que je
n’avais pas encore remarqué, était le Frère Alain Picard, capucin et confrère
du Frère Bélanger.
C’est alors que le Frère Picard m’a donné des nouvelles
très récentes du Frère Bélanger. Le Frère Picard me dit:
« Je suis allé voir le Frère Jacques Bélanger aujourd’hui
même. Il marchait dans le corridor avec sa marchette, accompagné de deux
infirmières, une de chaque côté. Il marchait tranquillement. Il m’a reconnu et nous
avons échangé quelques mots. Il comprenait tout. En m’éloignant de lui, je lui
ai fait un signe de la main avec le pouce en l’air, geste que l’on pose souvent
pour témoigner de notre joie et de notre désir que tout continue de bien aller,
et à ma grande surprise, le Frère Bélanger a fait le même geste de la main et
du pouce. Je n'en revenais pas. »
Frère Alain Picard, o.f.m cap.
J’ai tout de suite pensé à la prophétie que mon amie
m’avait écrite le matin même. J’ai dit à ces deux amis prêtres que j’avais
devant moi:
« Une bonne amie m’avait prédit un baume pour ce soir.
Voilà que ce baume, je le reçois de vous et de vos merveilleuses paroles.
Quelle joie j’ai dans mon cœur en ce moment, de savoir que mon bon ami le Frère Jacques
Bélanger, va de mieux en mieux! J’offre désormais mon Triduum pascal en
remerciement à Dieu pour ce qu’il fait dans l’âme et le corps de mon bon ami et
confesseur. »
Si vous avez lu mon blogue du 29 mars dernier (1), tout comme moi, vous
croirez probablement que tout ceci est dû à une intervention extraordinaire de Dieu,
intervention que je n’hésiterais pas à qualifier de miraculeuse.
Je vous invite à remercier le Seigneur avec moi pour tout
ce qu’il fait pour mon bon ami.
Ce soir, dès le début de la messe en mémoire de la Cène du Seigneur, je demanderai aux gens de
remercier le Seigneur pour ce qu’il fait pour le Frère Jacques Bélanger.
Heureux, joyeux et fructueux Triduum pascal à vous tous !!!
Guy, omv
(1) Dieu ma joie: Prions pour le Frère Jacques Bélanger, o.f.m. cap.
dieumajoie.blogspot.com/2017/03/prions-pour-le-frere-jacques-belanger.html
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