Andrea Bocelli "The Lord's Prayer"
Andrea Bocelli chante le
NOTRE PÈRE
Andrea Bocelli sings "The Lord's Prayer" accompanied by the Philadelphia Orchestra and the ...
27 sept. 2015 - Téléversé par Aleteia EN
Andrea Bocelli est un catholique convaincu. Quand il chante le Notre Père, on sent la profondeur de sa foi. Comme c'est beau de voir et d'entendre des artistes chrétiens !
Un des rôles de la musique est d'élever l'âme. Dites-moi si quelqu'un peut jouer ce rôle mieux que celui (ou celle) qui se sait et se sent habité par PLUS GRAND QUE LUI-MÊME ?
J'aime cette interprétation du Notre Père pour plusieurs raisons. Une de ces raisons est la suivante: Andrea Bocelli respecte dans les faits et sans le dire la hiérarchie qui existe dans la structure du Notre Père. La "prière du Seigneur" comporte deux parties. De ces deux parties, la plus importante est la première, celle qui regarde nos devoirs envers Dieu. Dieu doit être le premier servi. Et Jésus, quand il nous a décrit le GRAND COMMANDEMENT, a insisté pour que que nous comprenions bien que le premier commandement est d'aimer Dieu de tout son coeur. Andrea Bocelli chante la première partie du Notre Père de façon lente et sublime. C'est comme si le temps était suspendu. Quand il arrive à la deuxième partie du Notre Père, les demandes faites pour les êtres humains que nous sommes, sont comme prononcées à la dérobée. Non pas qu'elles soient sans importance, au contraire. Mais ces demandes doivent être subordonnées aux premières, celles exprimées dans la première partie du Notre Père. Une fois que le Notre Père proprement dit est terminé, Andrea Bocelli se concentre de nouveau sur Dieu pour les invocations finales et là, il "met le paquet ", comme on dit ici au Québec. La finale est GRANDIOSE et nous transporte littéralement au ciel, là où règne NOTRE PÈRE. "Notre Père, qui es aux cieux".
Je trouve étonnant, toutefois que Bocelli emploie le pronom "which" au lieu du pronom "who" dans la première ligne du chant.
J'aime cette interprétation du Notre Père pour plusieurs raisons. Une de ces raisons est la suivante: Andrea Bocelli respecte dans les faits et sans le dire la hiérarchie qui existe dans la structure du Notre Père. La "prière du Seigneur" comporte deux parties. De ces deux parties, la plus importante est la première, celle qui regarde nos devoirs envers Dieu. Dieu doit être le premier servi. Et Jésus, quand il nous a décrit le GRAND COMMANDEMENT, a insisté pour que que nous comprenions bien que le premier commandement est d'aimer Dieu de tout son coeur. Andrea Bocelli chante la première partie du Notre Père de façon lente et sublime. C'est comme si le temps était suspendu. Quand il arrive à la deuxième partie du Notre Père, les demandes faites pour les êtres humains que nous sommes, sont comme prononcées à la dérobée. Non pas qu'elles soient sans importance, au contraire. Mais ces demandes doivent être subordonnées aux premières, celles exprimées dans la première partie du Notre Père. Une fois que le Notre Père proprement dit est terminé, Andrea Bocelli se concentre de nouveau sur Dieu pour les invocations finales et là, il "met le paquet ", comme on dit ici au Québec. La finale est GRANDIOSE et nous transporte littéralement au ciel, là où règne NOTRE PÈRE. "Notre Père, qui es aux cieux".
Je trouve étonnant, toutefois que Bocelli emploie le pronom "which" au lieu du pronom "who" dans la première ligne du chant.
The Lord's Prayer
Our father, which art in heaven
Hallowed be thy name
Thy kingdom come, thy will be done
On Earth, as it is in Heaven
Give us this day our daily bread
And forgive us our debts, as we forgive our debtors
And lead us not into temptation
Hallowed be thy name
Thy kingdom come, thy will be done
On Earth, as it is in Heaven
Give us this day our daily bread
And forgive us our debts, as we forgive our debtors
And lead us not into temptation
But deliver us from evil.
For thine is the Kingdom,
And the power and the glory
FOR EVER (bis)
AMEN.
AMEN.
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